Dès 2019, des alertes avaient été lancées par les contrôleurs aériens, mais les autorités de l'ASECNA, de l'ANACIM et le ministère de tutelle, n'ont pas répondu aux attentes, selon le communiqué.
« Nous avons continué à gérer l'espace aérien de près de 4 millions de km², avec le maximum de professionnalisme, mais aujourd'hui, nous ne pouvons plus garantir une gestion sûre, régulière et ordonnée du trafic », affirme le communiqué.
Face à cette impasse, les contrôleurs demandent l'activation immédiate du plan de mesure d'exception, également appelé plan de contingence, par l'ASECNA. À défaut, ils se réservent le droit de limiter le trafic aérien, pour préserver la sécurité des passagers, la santé des agents et l'intégrité des infrastructures.
Cette décision intervient dans un contexte où le trafic aérien inclut des avions civils et militaires, mais également, des vols stratégiques comme celui de l'avion présidentiel. Les contrôleurs appellent à une action urgente, pour éviter une aggravation de la situation.
« Nous avons continué à gérer l'espace aérien de près de 4 millions de km², avec le maximum de professionnalisme, mais aujourd'hui, nous ne pouvons plus garantir une gestion sûre, régulière et ordonnée du trafic », affirme le communiqué.
Face à cette impasse, les contrôleurs demandent l'activation immédiate du plan de mesure d'exception, également appelé plan de contingence, par l'ASECNA. À défaut, ils se réservent le droit de limiter le trafic aérien, pour préserver la sécurité des passagers, la santé des agents et l'intégrité des infrastructures.
Cette décision intervient dans un contexte où le trafic aérien inclut des avions civils et militaires, mais également, des vols stratégiques comme celui de l'avion présidentiel. Les contrôleurs appellent à une action urgente, pour éviter une aggravation de la situation.