1. Une déclaration tardive et incohérente
• Le PIT-Sénégal critique le retard volontaire de la DPG, perçu comme une stratégie pour éviter un exercice similaire devant l'ancienne mandature.
• La déclaration est jugée incohérente, les propositions tenues et le programme énoncé s'écartant des actes posés par le gouvernement.
2. Une gestion économique préoccupante
• Les Sénégalais subissent les conséquences d'un manque de vision et de responsabilité du gouvernement actuel.
• La dégradation de la note souveraine du Sénégal, due aux accusations de falsification des chiffres budgétaires par le gouvernement précédent, a entamé la confiance des partenaires techniques et financiers.
• Le PIT-Sénégal dénonce l'impact direct sur les citoyens, notamment sur le secteur privé et informel, affectés par le coût accumulé des financements.
3. Une justice sélective et politisée
• Le PIT critique des actes jugés incohérents avec les déclarations sur l'indépendance de la justice, comme l'emprisonnement de Moustapha Diakhaté ou l'éviction brutale de Barthélémy Dias.
• Le parti appelle à une justice impartiale et déplore l'usage sélectif des règles de droit en fonction des rapports de certains acteurs politiques avec le pouvoir.
4. Une opposition à la loi d'amnistie
• Le PIT réitère son opposition à la loi d'amnistie adoptée en mars 2024, considérée comme une première à l'impunité.
• Il souligne la complexité juridique et les risques d'instabilité liés à une éventuelle abrogation de cette loi, tout en appelant à la reprise des enquêtes sur les violences passées sans rouvrir un cycle de tensions.
5. Une vision politique insuffisante
• Le volet politique de la DPG est jugé insuffisant, ne consacrant qu'une demi-page à des principes généraux tels que la bonne gouvernance et les conditions de participation aux élections.
• Le PIT critique le manque de démocratie interne au sein du PASTEF, dirigé par Ousmane Sonko depuis 10 ans sans organisation d'un congrès.
6. Une note positive sur le rôle de l'Assemblée nationale
• Le parti salue les propositions du Président de l'Assemblée nationale, Malick Ndiaye, qui a appelé les élus à être des partenaires du gouvernement tout en restant garants de l'intérêt général au-delà des clivages partisans.
En conclusion, le PIT-Sénégal appelle les acteurs politiques à une gestion plus responsable, cohérente et soucieuse des intérêts du peuple sénégalais.
• Le PIT-Sénégal critique le retard volontaire de la DPG, perçu comme une stratégie pour éviter un exercice similaire devant l'ancienne mandature.
• La déclaration est jugée incohérente, les propositions tenues et le programme énoncé s'écartant des actes posés par le gouvernement.
2. Une gestion économique préoccupante
• Les Sénégalais subissent les conséquences d'un manque de vision et de responsabilité du gouvernement actuel.
• La dégradation de la note souveraine du Sénégal, due aux accusations de falsification des chiffres budgétaires par le gouvernement précédent, a entamé la confiance des partenaires techniques et financiers.
• Le PIT-Sénégal dénonce l'impact direct sur les citoyens, notamment sur le secteur privé et informel, affectés par le coût accumulé des financements.
3. Une justice sélective et politisée
• Le PIT critique des actes jugés incohérents avec les déclarations sur l'indépendance de la justice, comme l'emprisonnement de Moustapha Diakhaté ou l'éviction brutale de Barthélémy Dias.
• Le parti appelle à une justice impartiale et déplore l'usage sélectif des règles de droit en fonction des rapports de certains acteurs politiques avec le pouvoir.
4. Une opposition à la loi d'amnistie
• Le PIT réitère son opposition à la loi d'amnistie adoptée en mars 2024, considérée comme une première à l'impunité.
• Il souligne la complexité juridique et les risques d'instabilité liés à une éventuelle abrogation de cette loi, tout en appelant à la reprise des enquêtes sur les violences passées sans rouvrir un cycle de tensions.
5. Une vision politique insuffisante
• Le volet politique de la DPG est jugé insuffisant, ne consacrant qu'une demi-page à des principes généraux tels que la bonne gouvernance et les conditions de participation aux élections.
• Le PIT critique le manque de démocratie interne au sein du PASTEF, dirigé par Ousmane Sonko depuis 10 ans sans organisation d'un congrès.
6. Une note positive sur le rôle de l'Assemblée nationale
• Le parti salue les propositions du Président de l'Assemblée nationale, Malick Ndiaye, qui a appelé les élus à être des partenaires du gouvernement tout en restant garants de l'intérêt général au-delà des clivages partisans.
En conclusion, le PIT-Sénégal appelle les acteurs politiques à une gestion plus responsable, cohérente et soucieuse des intérêts du peuple sénégalais.