Le PSE et le Développement humain
Le courage est l’armure de l’âme. Il la protège contre la domination, le pillage. Un opposant affirme son opposition . Face à un régime qui méconnaît ses devoirs lui s’opposer est une bénédiction. Le pastef est un parti de déception et de trahison. Ils ont trahi le peuple Sénégalais. Au Sénégal les hommes cessent de nous intéresser quand nous trouvons leurs limites. Le seul péché est la limitation.Aussitôt que le peuple Sénégalais s’est rendu compte des limites ce régime agonisant , c’en est fini
avec le pastef.
Orientation stratégique :
Assurer un accès équitable et de qualité aux services sociaux de base;
Rattraper le gap en services sociaux de base dans les zones déshéritées
Renforcer les programmes sociaux prioritaires dans les zones rurales, insulaires et péri-urbaines. Les conditions de vie sont plus difficiles dans les zones rurales, insulaires et périurbaines à cause notamment du faible niveau d’accès aux services sociaux de base. Les équipements sociaux y sont faibles
et les distances à parcourir pour les atteindre sont souvent importantes. Pour améliorer les conditions de vie des populations dans ces zones les plus déshéritées, il est nécessaire
de renforcer les programmes sociaux dans ces zones et d’assurer une bonne articulation des interventions. Par ailleurs, les modalités d’interventions devront être adaptées
aux spécificités de chaque territoire.
Assurer le transfert d’eau vers la bande centrale salée et les deltas (Saloum et Fleuve Casamance)
La bande salée de l’embouchure du Sine Saloum au Lac de Guiers, le long de l’axe Louga-Kaolack. Elle est caractérisée par une
eau salée et fluorée impropre à certaines activités productives et à l’eau de boisson. L’option serait d’identifier une zone (ou des zones) pouvant servir de centre de captage
et de production pour alimenter la zone centre en eau douce. La zone de transfert devrait présenter une bonne potentialité en eaux douces, à la fois en termes de productivité
et en termes de qualité des eaux.
Des études de la DGPRE -(PAGIRE-BA, 2014) ont identifié trois zones potentielles :
• Zone 1 : Khombole sur les calcaires éocènes (Khombole-Touba Toul-Kaba Diack) ;
• Zone 2 : Maastrichtien à l’Est de Touba ;
• Zone 3 : Tassette dans les calcaires du Paléocène. L’étude devrait être étendue au
Sud, pour alimenter en eau douce le delta du Fleuve Casamance. Le transfert d’eau permettra la valorisation des potentialités et ressources disponibles et la promotion des solutions durables et alternatives pour une satisfaction intégrale des besoins en eau.
Faciliter l’accès à des services sociaux de base de qualité
Promouvoir un accès universel aux Services sociaux de base
L’accès aux services sociaux de base devient de plus en plus difficile notamment pour les ménages à faibles revenus du fait de la cher-
té de certains services sociaux de qualité. L’État dans sa démarche d’assurer l’équité dans l’accès aux services sociaux de base doit veiller à l’harmonisation de la qualité
et des coûts des services sociaux et faciliter l’accès aux ménages à faibles revenus.
Mettre en place des chartes de qualité
La défaillance dans la gestion et l’entretien des équipements et infrastructures est un des principaux facteurs de la mauvaise qualité de
l’offre sociale. Cela résulte de la faiblesse des dispositifs de suivi et d’évaluation des établissements qui assurent les offres sociales. La mise en place de cette charte
concourt à garantir la qualité dans le fonctionnement des équipements et infrastructures sociaux. Cette charte devrait définir des normes et des règles standards sur le fonctionnement et l’entretien afin de mieux
garantir la pérennité et la qualité des offres en équipements et services sociaux de base.
Améliorer les conditions de vie et de travail des personnels sociaux
Les services sanitaires et scolaires sont souvent perturbés par des tensions sociales entre les personnels sociaux et le gouvernement (grèves, débrayages). Ces tensions affectent sérieusement la qualité et la régu-
larité des services sociaux au détriment des populations. Pour éviter la persistance de ces tensions, une amélioration des conditions de vie et de travail des acteurs sociaux est
nécessaire. Il urge de prendre des mesures fortes prenant en compte les spécificités de chaque catégorie professionnelle et des zones d’affectation.
Relever le niveau des équipements scolaires et du plateau médical
La plupart des établissements sociaux rencontre des difficultés de fonctionnement relatives à la qualité des équipements de services qui sont souvent rudimentaires, obsolètes, ou simplement indisponibles.
La santé et l’éducation sont les secteurs les plus touchés par cette situation qui s’amplifie au détriment des élèves et des patients. Pour
pallier ces insuffisances, le PNADT propose de renforcer et de moderniser les équipements de fonctionnement des structures sociales et scolaires.
Améliorer la prise en charge des maladies chroniques, des risques épidémiologiques et
des maladies mentales
Le niveau de pauvreté et de vulnérabilité sociale élevé explique souvent les difficultés des patients d’accéder aux services de soins généralement coûteux. Ce problème d’accès aux soins accentue le risque de propagation des maladies épidémiologiques et constitue donc une vraie menace pour la santé publique. La présence de personnes souffrant de déséquilibre psychiatrique dans les espaces
de vie peut avoir des conséquences tragiques sur la sécurité des populations, mais aussi sur elles-mêmes. Pour prévenir ces risques, il est nécessaire d’assurer une bonne prise
en charge des maladies chroniques, de renforcer les structures spécialisées dans la prise en charge des malades mentaux et de construire des centres de mise en quarantaine
permettant une bonne gestion de certaines épidémies.
Renforcer et moderniser les établissements d’enseignement arabo-islamique
L’enseignement arabo-islamique selon le type d’enseignement et le mode de fonctionnement implique trois grands sous-secteurs : l’enseignement arabo-islamique dans le
public, l’enseignement arabo-islamique dans le privé et les « Daaras ». Cependant, face à un système éducatif sénégalais largement do-
miné par l’enseignement du français académique, l’enseignement arabo-islamique est confronté à certaines difficultés. Les conditions d’enseignement sont à améliorer
surtout au niveau des structures privées notamment les « daaras ». Le phénomène des enfants mendiants de la rue communément appelés « talibés » et le manque de suivi
des élèves après leurs études témoignent largement de la situation difficile et dérisoire de l’enseignement arabo-islamique. Pour inverser cette situation, le PNADT préconise
la mise en place d’une politique publique adaptée aux besoins spécifiques de l’enseignement arabo-islamique par le renforcement et la modernisation des établissements d’enseignement
arabo-islamique et l’éradication du phénomène de la mendicité des enfants talibés.
Renforcer les mécanismes de planification sociale
Elaborer et mettre en œuvre des cartes sanitaire et scolaire à l’échelle nationale
En dépit des performances enregistrées pour l’amélioration de l’accès aux services de santé et d’éducation au cours de ces dernières an-
nées, il convient de souligner qu’il reste encore des efforts considérables pour garantir l’équité et atteindre les ODD. Dans cette perspective, l’élaboration et la mise en œuvre des cartes sanitaire et scolaire sont nécessaires pour identifier et résorber les déficits et assurer la
mise en cohérence dans la distribution de l’offre. Les cartes sanitaire et scolaire sont des outils de réglementation, de régulation, de veille et des outils de planification pour une répartition spatiale équitable et équilibré de l’offre de services de santé et scolaires.
Renforcer la carte des infrastructures hospitalières Il s’agira de densifier la carte des infrastructures hospitalières en faveur des métropoles et des chefs-lieux de département à forte démographie afin d’améliorer nettement le niveau d’accès aux soins de qualité, et de rapprocher davantage le Sénégal de l’objectif des ODD à l’horizon 2030. La répartition des projets est fondée essentiellement sur des
normes démographiques établies par la Carte Sanitaire (1 hôpital pour 400 000 habitants pour tout niveau confondu).
Élaborer et mettre en œuvre des schémas directeurs hydraulique et électrique
Compte tenu des difficultés d’approvisionnement en eau et en électricité que connaît le Sénégal et de la forte croissance démographique qui accentue la demande, il est important de réaliser des Schémas Directeurs
à l’échelle nationale et au niveau des métropoles qui évaluent l’évolution probable de la demande en eau et en électricité pour ensuite dégager une stratégie opérationnelle dans le moyen et le long terme pour répondre aux besoins.
Prévoir des réserves foncières destinées à la construction d’équipements sociaux
Avec la forte croissance urbaine de ces dernières années, la disponibilité du foncier pour la construction d’équipements sociaux et collectifs pose de plus en plus problème.
Dans ce contexte, l’action proposée consiste à définir et sécuriser des réserves foncières dans les différentes zones d’extension urbaine
destinées à accueillir des équipements sociaux et collectifs dans l’avenir. Ces réserves devront être prises en compte par les différents
documents de planification urbaine (PDU,SDAU).
Mettre en place un organe interministériel d’orientation et de suivi des programmes sociaux
Le manque de cohérence dans la planification de l’offre sociale pour un meilleur accès aux services sociaux de base des populations sur
l’ensemble du territoire est le fait d’un manque de coordination et de suivi. Cette situation pèse sur l’efficience des actions menées sur l’ensemble du territoire. Pour infléchir cette tendance, le PNADT propose la mise en place d’un organe interministériel d’orientation et de suivi
Atteindre les normes internationales dans l’accès aux services sociaux de base
Augmenter les ressources allouées à la santé et à l’éducation
Au cours de ces dernières décennies, le niveau de ressources destinées à financer l’accès des
populations aux services de santé et
d’éducation a progressivement augmenté. Malgré les hausses du budget, les ressources consacrées à la santé et à l’éducation restent
faibles. Seulement 8% du budget national est consacré à la santé, alors que l’objectif fixé au niveau international était de porter ce taux
à 15%. Pour l’éducation, le Sénégal s’est engagé, lors de la Conférence internationale de financement du Partenariat mondial pour l’éducation (1er 2 février 2018 à Dakar), d’allouer 20% de son budget à l’éducation.
La réalisation de ces engagements pourrait garantir un accès équitable et de qualité aux services sanitaires et scolaires.
Renforcer les infrastructures et équipements sociaux en milieux urbain et rural
La non atteinte des normes internationales (OMS, ODD, etc.) est surtout liée à l’insuffisance des infrastructures et équipements sociaux en zones urbaines et en zones rurales. Pour réaliser les engagements internationaux et atteindre l’équité dans l’accès aux services sociaux de base, le Sénégal devra
renforcer l’ensemble des équipements et infrastructures sociaux. Pour l’éducation, les normes internationales visent l’accès universel
alors que le taux de scolarisation au Sénégal est de 86,6% (chiffre 2015). Pour la santé le tableau suivant montre le gap entre les normes
internationales et le niveau de couverture au Sénégal.
Améliorer les dispositifs de contrôle de la qualité sanitaire des aliments
La problématique mondiale de la sécurité sanitaire des aliments touche particulièrement le Sénégal du fait des limites notées dans le
contrôle des produits alimentaires régis par la Loi de base : 66-48 du 27 Mai 1966. Cela n’est pas sans conséquence sur la santé publique
des populations. Aujourd’hui, le Sénégal comme beaucoup de pays en voie de développement rencontre des difficultés pour honorer l’Accord de l’OMC de 2000 sur les me-
sures sanitaires et phytosanitaires des
aliments. Pour réaliser cet engagement international, le PNADT propose de : (i) renforcer les équipements de contrôles (laboratoire, organes de contrôle…) des produits alimentaires pour l’amélioration de
l’état nutritionnel et la santé des populations, (ii) assurer le contrôle de la qualité des denrées alimentaires.
Orientation stratégique : Améliorer la qualité du cadre de vie et de l’habitat
Faciliter l’accès à un habitat de
qualité
Renforcer les politiques de production de logements sociaux
En 2015, le déficit en logement s’estimait à 300 000 logements dans tout le pays selon le Ministère de l’Économie, des Finances et du
plan. Ce déficit entraîne des difficultés d’accès au logement notamment dans les villes avec la flambée des prix du loyer et du foncier. Pour
résorber ce déficit, il est nécessaire de renforcer les politiques de production des ZAC et par la promotion de programmes structurants d’aménagement et de viabilisation de terrains accessibles aux ménages
à faibles revenus dans les métropoles et les villes secondaires. Ces actions en plus d’augmenter l’offre de logement, peuvent servir également de moyens de lutte contre
l’habitat spontané.
Développer l’écosystème de la construction
L’écosystème de la construction se définit comme étant, en plus du secteur de la construction, l’ensemble des sous-secteurs, groupes et classes industriels qui sont touchés par l’activité de la construction. L’objectif est de constituer dans le secteur de la construction un écosystème d’affaires composé d’une pluralité d’entreprises, d’industries et de métiers hautement diversifiés
pour renforcer la production de logement de qualité.
Promouvoir la construction en hauteur
Jusqu’à présent la construction d’une armature urbaine se traduit par un étalement urbain important qui menace des zones agricoles et rend difficile l’accès aux services sociaux de base. Pour contenir une partie de la croissance démographique des villes et répondre à la demande croissante en logements, le PNADT propose de promouvoir la construction en
hauteur dans toutes les métropoles et les villes secondaires. L’action préconisée consiste à prendre les mesures à caractère réglementaire
et incitatif pour encadrer et promouvoir la construction en hauteur.
Promouvoir et encadrer le secteur de l’immobilier Malgré la pertinence de libéraliser le secteur de l’immobilier au nom de l’efficacité économique et du renforcement de l’offre de logement, le marché de l’immobilier se révèle être
défaillant, en raison des faiblesses notées dans l’encadrement des activités de promotion, de transaction et de gestion immobilière. Cette
situation entraine une dérégulation du secteur et expose les citoyens au phénomène de la spéculation foncière. Pour renverser cette si-
tuation, le PNADT propose un encadrement du secteur par le renforcement des outils de protection des citoyens, par l’assainissement
du secteur de l’immobilier, et par la mise en place d’un Conseil National des Professionnels de l’Immobilier (CNPI). Cette institution constituera une commission de contrôle et de
discipline dans le but de coordonner voire co-réguler le secteur avec les différents acteurs concernés.
Simplifier les procédures d’obtention du droit de propriété
Les procédures d’accès légal au titre de propriété demeurent complexes pour certaines catégories de populations du fait de la lenteur des procédures et la diversité des titres
intermédiaires (Permis d’occuper, Bail,
Délibération, …). Selon les résultats du RGPHAE 2013, environ 28% des ménages ne possèdent
pas de titre de propriété légal au Sénégal. Ce chiffre illustre la part importante de l’habitat irrégulier dans les villes qui constitue un obstacle pour la gestion et la planification urbaine. Dans ce contexte, la facilitation de l’accès au titre de propriété par la simplification et l’allégement des procédures est importante.
Assurer une bonne gestion des
déchets
Promouvoir l’intercommunalité comme cadre de gestion des déchets
La gestion des déchets est une compétence transférée aux collectivités territoriales. Cependant, compte tenu notamment du manque de moyens, les collectivités territoriales rencontrent d’énormes difficultés pour prendre en charge cette compétence. Dans ce contexte, le PNADT propose la mise en place d’un cadre de coopération inter-
communale qui prend en charge la gestion des déchets : l’intercommunalité. L’intercommunalité permet aux communes de mutualiser leurs forces et leurs moyens pour pouvoir assurer une meilleure gestion des
déchets. Elaborer et mettre en œuvre des plans de gestion des déchets à l’échelle intercommunale. Ces plans de gestion intercommunale des déchets devront notamment déterminer les dispositions
opérationnelles à mettre en place pour assurer la collecte, le transport et le tri des déchets dans toute la zone de l’intercommunalité. Le tri
des déchets permet de faciliter les phases en aval de recyclage, de valorisation et de stockage des dechets. La valorisation des déchets constitue une activité génératrice
de revenus qui peut attirer les investisseurs privés.
Mettre en place des
équipements adaptés de gestion
des déchets
Les déchets constituent actuellement un problème pour les populations et les acteurs territoriaux. Les équipements et infrastructures
légaux de gestion des déchets sont très insuffisants et souvent rudimentaires. Avec la forte croissance démographique et urbaine,
le renforcement des équipements de gestion des déchets et la modernisation des outils de collecte s’imposent. C’est pourquoi, le PNADT préconise : (i) la création de Centres Intégrés de Valorisation des Déchets dans les grands établissements humains, (ii) l’installation de décharges conventionnelles dans les établissements humains moyens et des Points de Regroupement des Déchets Normalisés dans les petits établissements humains
et (iii) la généralisation de la mécanisation du système de collecte de déchets pour rendre plus performant le système de ramassage et
de collecte.
Promouvoir le développement de filières de valorisation des déchets
Le développement des technologies de valorisation des déchets constitue une opportunité pour changer de paradigme et considérer les déchets comme une matière
première. Dès lors le développement de filières de valorisation permettrait d’une part de créer de l’emploi et de l’activité et d’autre part
de faciliter la gestion des déchets. C’est ainsi que le PNADT recommande de promouvoir le développement de filières de valorisation des
déchets par (i) l’identification des filières pertinentes, (ii) la réglementation des conditions d’exploitation et (iii) la mise en place de mesures incitatives spécifiques pour attirer les investisseurs.
Procéder à la fermeture des dépôts sauvages
À cause des limites de la politique
de gestion des déchets, les décharges sauvages sont répandues sur le territoire national et constituent de vrais problèmes écologiques, environnementaux voire même sanitaires. La plupart des décharges en zones urbaines sont maintenant entièrement entourées par des habitations et affectent de
plus en plus de populations. C’est pourquoi le PNADT recommande (i) de procéder à la fermeture des décharges sauvages et incontrôlées pour stopper le processus de
dégradation de l’environnement et préserver la santé et le cadre de vie des populations, (ii) de mettre en œuvre une stratégie de traitement,
de valorisation des déchets, et (iii) de restaurer les sites concernés.
Élaborer et mettre en œuvre une stratégie adaptée de gestion des Déchets Dangereux
Les déchets dangereux proviennent de sources diverses dont les principales sont l’agriculture, l’industrie et les déchets médicaux. Actuelle-
ment à cause de la faiblesse des politiques de gestion, ces déchets sont généralement déversés en mer et dans les cours d’eau sans traitement préalable parfois. Cela porte
atteinte gravement à la biodiversité marine, fluviale et éventuellement à la santé des populations. C’est pourquoi, le PNADT préconise le renforcement des projets et programmes de gestion des déchets dangereux par la création de centres régionaux
d’élimination et d’enfouissement technique des déchets dangereux dans les métropoles et la mise en place d’un décret de réglementa-
tion du transport de matières dangereuses.
Assurer une bonne occupation de
l’espace public
Lutter contre les occupations illégales d’espace et voie publics
La plupart de nos villes sont confrontées à des occupations illégales de la voie et de l’espace public telles que : le stationnement sauvage, le
commerce ambulant non réglementé, les empiétements sur l’espace public, les encombrements de l’espace public, etc. Cette situation détériore la qualité du cadre de vie et
occasionne des nuisances sonores et des embouteillages. Pour mettre fin à ces pratiques, le PNADT préconise (i) d’aménager des zones d’activités dédiées pour transférer
ces activités encombrantes, (ii) de procéder à des opérations de déguerpissement et (iii) de renforcer les dispositifs de contrôle et de
sanctions contre les occupations illégales.
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Samba Ndong Responsable APR Biscuiterie
Mackyste Convaincu