S’il y a un service régional vraiment très mal-en-point à Kolda, c’est bien celui de l’hydraulique. Il fait face à la vétusté de son parc automobile. Un tour au sein dudit service permet d’en avoir le cœur net. Ici, on a l’impression d’être dans un cimetière d’automobiles prêtes à être envoyées à la casse.
‘’La vétusté des voitures fait que le Service de l’Hydraulique rencontre d’énormes difficultés sur le terrain, pour résoudre les problèmes et soulager les populations. D’ailleurs, avec les maigres moyens financiers dont je dispose, j’ai pu dépanner les trois citernes qui étaient en panne, ainsi que les petits véhicules d’intervention’’, explique le chef du Service régional de l’Hydraulique de Kolda.
Ibrahima Diatta soutient que ‘’malgré le dépannage, il faut noter que ce sont des véhicules vétustes et en mauvais état, qui ne peuvent pas parcourir de longues distances’’, avant de solliciter l’appui des nouvelles autorités étatiques, pour renforcer le service en logistique.
De plus, le Service régional de l’Hydraulique de Kolda souffre également d’un manque de personnel qualifié. Le chef du service est obligé de faire appel à des bénévoles ou à des artisans, pour intervenir dans les forages.
Le Service régional de l'Hydraulique a un seul agent administratif
‘’Effectivement, je suis presque le seul agent administratif au sein du Service régional de l’Hydraulique de Kolda et de la brigade. Je gère les deux services et je suis accompagné de deux chauffeurs : un pour la Division régionale de l’Hydraulique et un pour la Brigade. C’est tout le personnel dont nous disposons. Alors qu’il nous faut des mécaniciens, des électromécaniciens et des plombiers pour intervenir au niveau des forages. Actuellement, nous utilisons des bénévoles ou des artisans, ce qui ralentit les interventions sur le terrain’’, renseigne Ibrahima Diatta.
Pour satisfaire les besoins des populations du Fouladou, le Service régional de l’Hydraulique de Kolda a besoin du renouvellement de son parc automobile et d’un personnel qualifié à suffisance.
‘’La vétusté des voitures fait que le Service de l’Hydraulique rencontre d’énormes difficultés sur le terrain, pour résoudre les problèmes et soulager les populations. D’ailleurs, avec les maigres moyens financiers dont je dispose, j’ai pu dépanner les trois citernes qui étaient en panne, ainsi que les petits véhicules d’intervention’’, explique le chef du Service régional de l’Hydraulique de Kolda.
Ibrahima Diatta soutient que ‘’malgré le dépannage, il faut noter que ce sont des véhicules vétustes et en mauvais état, qui ne peuvent pas parcourir de longues distances’’, avant de solliciter l’appui des nouvelles autorités étatiques, pour renforcer le service en logistique.
De plus, le Service régional de l’Hydraulique de Kolda souffre également d’un manque de personnel qualifié. Le chef du service est obligé de faire appel à des bénévoles ou à des artisans, pour intervenir dans les forages.
Le Service régional de l'Hydraulique a un seul agent administratif
‘’Effectivement, je suis presque le seul agent administratif au sein du Service régional de l’Hydraulique de Kolda et de la brigade. Je gère les deux services et je suis accompagné de deux chauffeurs : un pour la Division régionale de l’Hydraulique et un pour la Brigade. C’est tout le personnel dont nous disposons. Alors qu’il nous faut des mécaniciens, des électromécaniciens et des plombiers pour intervenir au niveau des forages. Actuellement, nous utilisons des bénévoles ou des artisans, ce qui ralentit les interventions sur le terrain’’, renseigne Ibrahima Diatta.
Pour satisfaire les besoins des populations du Fouladou, le Service régional de l’Hydraulique de Kolda a besoin du renouvellement de son parc automobile et d’un personnel qualifié à suffisance.