Le journal affirme que "les autorités de Dakar ne seraient pas opposés à un tel scénario". Mais, ajoute la même source, elles posent une condition : "que (l’ancien ministre d’État) se fasse oublier en se retirant dans le riche émirat".
Hors de question, aurait rétorqué l’intéressé du fond de sa prison. "Karim Wade serait opposé à toute idée d’exil, même momentané", avance la Lettre du Continent qui révèle que ce refus de s’éloigner du Sénégal "ne l’a pas empêché de dépêcher deux de ses avocats, Madické Niang et Mohamed Seydou Diagne, à Doha au cours de la seconde quinzaine d’avril afin de recueillir plus de précisions sur les contours de cette médiation".
Malgré tout, au mois de mars dernier, la justice française avait jugé recevable la plainte de Karim Wade pour détention arbitraire. Cette décision faisait suite à une saisine du tribunal de Grande instance de Paris par les avocats de l’ancien ministre d’État.
Hors de question, aurait rétorqué l’intéressé du fond de sa prison. "Karim Wade serait opposé à toute idée d’exil, même momentané", avance la Lettre du Continent qui révèle que ce refus de s’éloigner du Sénégal "ne l’a pas empêché de dépêcher deux de ses avocats, Madické Niang et Mohamed Seydou Diagne, à Doha au cours de la seconde quinzaine d’avril afin de recueillir plus de précisions sur les contours de cette médiation".
Malgré tout, au mois de mars dernier, la justice française avait jugé recevable la plainte de Karim Wade pour détention arbitraire. Cette décision faisait suite à une saisine du tribunal de Grande instance de Paris par les avocats de l’ancien ministre d’État.