"Dans le contexte actuel, après la validation par le peuple sénégalais, à travers le référendum du 20 mars 2016, du projet de révision consolidante de notre Constitution, le dialogue auquel le Président Macky Sall convie les forces politiques et citoyennes est très à propos. En vérité, au-delà des dispositifs de discours assez variés dans leurs contenus et préoccupations, que nous entendons à profusion, ces temps-ci, il convient de se concentrer sur les conséquences pratiques qui devraient en découler, en s’accordant sur quelques éléments forts. L’initiative du dialogue appartient au président de la République, le pays n’est absolument pas en crise, l’agenda à élaborer doit concerner les questions à enjeux pour le développement du pays et non des préoccupations partisanes", a déclaré Seydou Guèye.
Le responsable Apr précise qu'il ne saurait s’agir d’assigner au dialogue une quelconque finalité de négociations ou uniquement de retrouvailles libérales. "La perspective enjambe les frontières de la famille libérale et de la classe politique et devrait, à mon sens, intéresser d’autres sphères sociales, économiques ou citoyennes en vue de bâtir des consensus forts, utiles et profitables au Sénégal, en termes d’une stabilité renforcée et de mobilisation pour un développement plus inclusif et plus intégrateur des énergies en direction de la construction consolidée du projet d’émergence du Sénégal", a-t-il indiqué.
Le responsable Apr précise qu'il ne saurait s’agir d’assigner au dialogue une quelconque finalité de négociations ou uniquement de retrouvailles libérales. "La perspective enjambe les frontières de la famille libérale et de la classe politique et devrait, à mon sens, intéresser d’autres sphères sociales, économiques ou citoyennes en vue de bâtir des consensus forts, utiles et profitables au Sénégal, en termes d’une stabilité renforcée et de mobilisation pour un développement plus inclusif et plus intégrateur des énergies en direction de la construction consolidée du projet d’émergence du Sénégal", a-t-il indiqué.