Pour éradiquer la poliomyélite, le Sénégal a mené, en décembre, une campagne nationale de vaccination visant à atteindre tous les enfants de moins de 5 ans. Sur les 2,8 millions d’enfants ciblés, plus de 2,6 millions (environ 95 %) ont été vaccinés selon les résultats préliminaires.
Selon le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (Unicef), les poliovirus circulants dérivés d’une souche vaccinale sont rares. Mais ces virus affectent les populations non immunisées et sous-immunisées vivant dans des zones où l’assainissement est inadéquat et où les niveaux de vaccination contre la poliomyélite sont faibles.
Lorsque les enfants sont immunisés avec le vaccin antipoliomyélitique oral, le virus vaccinal atténué se réplique dans leurs intestins pendant une courte période pour développer l’immunité nécessaire et est ensuite excrété à travers les fèces dans l’environnement où il peut muter. Si la couverture vaccinale contre la poliomyélite reste faible dans une communauté et que l’assainissement reste inadéquat, les virus mutés seront transmis aux populations sensibles, entraînant l’émergence de poliovirus dérivés du vaccin.
Avec d’autres partenaires de l’Initiative mondiale pour l’éradication de la poliomyélite, l’Unicef a soutenu la communication et la gestion de la campagne de vaccination contre la poliomyélite avec le nouveau vaccin oral (nVPO2) en particulier « à Dakar et à Diourbel, où plus de 80% des cas de poliovirus circulants dérivés d’une souche vaccinale (PVDVc2) ont été signalés », d’après l’organe des Nations unis.
emedia
Selon le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (Unicef), les poliovirus circulants dérivés d’une souche vaccinale sont rares. Mais ces virus affectent les populations non immunisées et sous-immunisées vivant dans des zones où l’assainissement est inadéquat et où les niveaux de vaccination contre la poliomyélite sont faibles.
Lorsque les enfants sont immunisés avec le vaccin antipoliomyélitique oral, le virus vaccinal atténué se réplique dans leurs intestins pendant une courte période pour développer l’immunité nécessaire et est ensuite excrété à travers les fèces dans l’environnement où il peut muter. Si la couverture vaccinale contre la poliomyélite reste faible dans une communauté et que l’assainissement reste inadéquat, les virus mutés seront transmis aux populations sensibles, entraînant l’émergence de poliovirus dérivés du vaccin.
Avec d’autres partenaires de l’Initiative mondiale pour l’éradication de la poliomyélite, l’Unicef a soutenu la communication et la gestion de la campagne de vaccination contre la poliomyélite avec le nouveau vaccin oral (nVPO2) en particulier « à Dakar et à Diourbel, où plus de 80% des cas de poliovirus circulants dérivés d’une souche vaccinale (PVDVc2) ont été signalés », d’après l’organe des Nations unis.
emedia