Selon ce document, le groupe Jama’at Nusrat al-Islam wal-Muslimîn (JNIM), actif dans la région, disposerait de bases logistiques dans la région malienne de Kayes, frontalière du Sénégal. La présence de passages frontaliers non officiels sur la Falémé, notamment vers le département sénégalais de Saraya, augmente le risque de mouvements transfrontaliers du JNIM, alerte le centre.
Toujours selon l’APS, le Timbuktu Institute insiste sur la nécessité de renforcer la planification stratégique, les échanges de renseignements et les patrouilles conjointes entre les trois pays, afin de contenir les risques sécuritaires.
Il souligne l’importance d’un engagement coordonné à tous les niveaux, du politique au militaire, en évoquant notamment la rencontre de février 2025, entre les chefs d’état-major malien et sénégalais comme exemple de coopération à pérenniser.
Le centre préconise en outre, la création de forces opérationnelles conjointes binationales ou trinationales, composées de l’armée, de la police et des services de renseignement des trois pays, pour mener des actions ciblées telles que l’interdiction, la surveillance fluviale et l’intervention rapide. Ces unités spécialisées permettraient une réponse transfrontalière à une menace transfrontalière, souligne le rapport cité par l’APS.
Enfin, le Timbuktu Institute plaide pour l’institutionnalisation des échanges de renseignements, en désignant des points de contact entre les agences concernées. Une telle coordination, estime-t-il, est indispensable pour faire face à l’évolution des menaces dans cette région sensible du Sahel.
Toujours selon l’APS, le Timbuktu Institute insiste sur la nécessité de renforcer la planification stratégique, les échanges de renseignements et les patrouilles conjointes entre les trois pays, afin de contenir les risques sécuritaires.
Il souligne l’importance d’un engagement coordonné à tous les niveaux, du politique au militaire, en évoquant notamment la rencontre de février 2025, entre les chefs d’état-major malien et sénégalais comme exemple de coopération à pérenniser.
Le centre préconise en outre, la création de forces opérationnelles conjointes binationales ou trinationales, composées de l’armée, de la police et des services de renseignement des trois pays, pour mener des actions ciblées telles que l’interdiction, la surveillance fluviale et l’intervention rapide. Ces unités spécialisées permettraient une réponse transfrontalière à une menace transfrontalière, souligne le rapport cité par l’APS.
Enfin, le Timbuktu Institute plaide pour l’institutionnalisation des échanges de renseignements, en désignant des points de contact entre les agences concernées. Une telle coordination, estime-t-il, est indispensable pour faire face à l’évolution des menaces dans cette région sensible du Sahel.