Pour y faire face, le rapport 2025 du Forum sur les prévisions saisonnières des caractéristiques agro-hydro-climatiques de la saison des pluies pour les zones soudaniennes et sahéliennes de l’Afrique de l’Ouest (PRESASS-2025) recommande de renforcer la communication autour des prévisions saisonnières. L'objectif est d'informer et de sensibiliser davantage les communautés exposées aux risques d’inondations.
Selon toujours l’ Agence de Presse Sénégalaise, le document appelle également les pays sahéliens à appuyer les efforts de la presse, des plateformes de réduction des risques de catastrophes, des ONG et des systèmes d’alerte précoce (SAP), afin de mieux préparer les populations et limiter les désastres. Il est aussi recommandé de :
• Renforcer la surveillance et les capacités d’intervention des agences en charge du suivi des inondations et des aides humanitaires ;
• Décourager l’occupation anarchique des zones inondables par les habitations, les cultures et les élevages ;
• Consolider les digues de protection, assurer la maintenance des barrages, infrastructures routières et curer les caniveaux pour améliorer l’évacuation des eaux de pluie.
Les prévisionnistes insistent par ailleurs sur l’importance de suivre de près les seuils d’alerte dans les sites à haut risque, de maintenir une collaboration étroite entre services hydrologiques et météorologiques, et de mettre à jour régulièrement les prévisions saisonnières ainsi que les prévisions à court terme, en coordination avec le Centre climatique régional pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel (AGRHYMET CCR-AOS) du CILSS.
L’agence souligne que les pays sahéliens concernés par ces prévisions sont : le Burkina Faso, le Cameroun, la Gambie, la Guinée, le Mali, la Mauritanie, le Niger, le Nigéria, le Sénégal et le Tchad.
Le Forum PRESASS 2025 s’est tenu du 21 au 25 avril à Bamako, au Mali. Le Sénégal y était représenté par une délégation de l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (ANACIM) et de la Direction de la Gestion et de la Planification des Ressources en Eau (DGPRE).
Organisé par AGRHYMET CCR-AOS du CILSS, cet événement scientifique a réuni, en collaboration avec l’ACMAD, l’Organisation météorologique mondiale (OMM), les services météorologiques et hydrologiques nationaux (SMHN) et les organismes des bassins fluviaux de l’Afrique de l’Ouest et du Sahel.
Selon toujours l’ Agence de Presse Sénégalaise, le document appelle également les pays sahéliens à appuyer les efforts de la presse, des plateformes de réduction des risques de catastrophes, des ONG et des systèmes d’alerte précoce (SAP), afin de mieux préparer les populations et limiter les désastres. Il est aussi recommandé de :
• Renforcer la surveillance et les capacités d’intervention des agences en charge du suivi des inondations et des aides humanitaires ;
• Décourager l’occupation anarchique des zones inondables par les habitations, les cultures et les élevages ;
• Consolider les digues de protection, assurer la maintenance des barrages, infrastructures routières et curer les caniveaux pour améliorer l’évacuation des eaux de pluie.
Les prévisionnistes insistent par ailleurs sur l’importance de suivre de près les seuils d’alerte dans les sites à haut risque, de maintenir une collaboration étroite entre services hydrologiques et météorologiques, et de mettre à jour régulièrement les prévisions saisonnières ainsi que les prévisions à court terme, en coordination avec le Centre climatique régional pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel (AGRHYMET CCR-AOS) du CILSS.
L’agence souligne que les pays sahéliens concernés par ces prévisions sont : le Burkina Faso, le Cameroun, la Gambie, la Guinée, le Mali, la Mauritanie, le Niger, le Nigéria, le Sénégal et le Tchad.
Le Forum PRESASS 2025 s’est tenu du 21 au 25 avril à Bamako, au Mali. Le Sénégal y était représenté par une délégation de l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (ANACIM) et de la Direction de la Gestion et de la Planification des Ressources en Eau (DGPRE).
Organisé par AGRHYMET CCR-AOS du CILSS, cet événement scientifique a réuni, en collaboration avec l’ACMAD, l’Organisation météorologique mondiale (OMM), les services météorologiques et hydrologiques nationaux (SMHN) et les organismes des bassins fluviaux de l’Afrique de l’Ouest et du Sahel.