Le premier a douché les derniers espoirs de la fratrie de ministres, députés et Directeurs généraux de la capitale du Rail, au soir du 29 juin 2014 ; l’autre avait fini, au moment, de ranger les cercueils de son propre frangin, député Papa Mbodj, et des anciens ministres Mor Ngom et Papa Diouf.
L’un refuse toujours de déposer sa cravache, en dépit de la clémence réclamée par le Président de la République, Macky Sall ; l’autre aussi sait cogner maladivement contre ce dernier, à chaque fois que l’envie l’en démange.
Les deux sont tous des libéraux et traînent une farouche réputation de célébrité et drainent des foules, partout où ils passent. L’un a fini de faire l’apprentissage de la déception avec son père d’emprunt ; l’autre continue certes de vénérer la divinité du Parti démocratique sénégalais. Mais ne reconnaît point aucun autre patron libéral, à part la constante bleue. Alors, qu’est-ce qui devrait s’opposer à une sainte alliance entre ces deux-là, au détour du Conseil d’Administration du Sénégal 2017 que le marabout de la scène politique a porté sur les fonts baptismaux.
L’un refuse toujours de déposer sa cravache, en dépit de la clémence réclamée par le Président de la République, Macky Sall ; l’autre aussi sait cogner maladivement contre ce dernier, à chaque fois que l’envie l’en démange.
Les deux sont tous des libéraux et traînent une farouche réputation de célébrité et drainent des foules, partout où ils passent. L’un a fini de faire l’apprentissage de la déception avec son père d’emprunt ; l’autre continue certes de vénérer la divinité du Parti démocratique sénégalais. Mais ne reconnaît point aucun autre patron libéral, à part la constante bleue. Alors, qu’est-ce qui devrait s’opposer à une sainte alliance entre ces deux-là, au détour du Conseil d’Administration du Sénégal 2017 que le marabout de la scène politique a porté sur les fonts baptismaux.