Faut-il le rappeler, le financement de l’IAAF provient essentiellement des sponsors et des droits de télévision. Jusqu’en 1981, les sources de revenus de l’IAAF étaient les fédérations membres qui ne versaient qu’une participation symbolique ne permettant ni l’organisation de compétitions du même niveau que celles d’autres sports, ni l’émergence de l’IAAF comme fédération internationale et encore moins, de l’athlétisme au niveau mondial.
Faute de financements, l’IAAF ne pouvait organiser de compétitions internationales majeures et les jeux olympiques faisaient alors figure de championnats du monde d’athlétisme.
En quinze ans, sous la magistère de Lamine Diack, les recettes de télévision et de sponsoring se sont élevées à plus d’un milliard d’euros.
Faute de financements, l’IAAF ne pouvait organiser de compétitions internationales majeures et les jeux olympiques faisaient alors figure de championnats du monde d’athlétisme.
En quinze ans, sous la magistère de Lamine Diack, les recettes de télévision et de sponsoring se sont élevées à plus d’un milliard d’euros.