Les populations font face à une insécurité croissante
Selon Tribune , cette situation est vivement dénoncée par les habitants, qui se retrouvent livrés à eux-mêmes. Alioune Guèye, habitant de Médina Baba, déplore : « À cause de l'absence d'éclairage, des voleurs et agresseurs de tout acabit nous agresseurs. Ils ne se limitent pas à voler nos biens.
En cas de résistance, ils usent de violence pour commettre leurs méfaits avant de prendre la fuite. » Ablaye Fall, de Thiofac, partage la même inquiétude : « Dès la tombée de la nuit, nos enfants n'osent plus mettre le nez dehors au risque d'être agressés. » Mor Talla Ndiaye, résidant à Dialègne, confirme que les actes de vol et d'agression se multiplient dans leur quartier en raison de l'absence de lumière.
Une initiative citoyenne pour pallier les défaillances
Toujours selon Tribune , bien que des lampadaires soient installés dans ces zones, leur fonctionnement laisse à désirer. Le problème majeur réside dans les ampoules défectueuses ou les lampadaires solaires en panne.
Face à l'inaction des autorités, les populations des quartiers concernés ont décidé de se mobiliser. Elles se cotisent pour acheter des ampoules ou réparer les lampadaires en panne.
L'éclairage public joue un rôle crucial dans la sécurité des populations. Son absence, comme à Kaolack, ne fait qu'exacerber les problèmes d'insécurité et soulève des interrogations sur les responsabilités des pouvoirs publics.
Selon Tribune , cette situation est vivement dénoncée par les habitants, qui se retrouvent livrés à eux-mêmes. Alioune Guèye, habitant de Médina Baba, déplore : « À cause de l'absence d'éclairage, des voleurs et agresseurs de tout acabit nous agresseurs. Ils ne se limitent pas à voler nos biens.
En cas de résistance, ils usent de violence pour commettre leurs méfaits avant de prendre la fuite. » Ablaye Fall, de Thiofac, partage la même inquiétude : « Dès la tombée de la nuit, nos enfants n'osent plus mettre le nez dehors au risque d'être agressés. » Mor Talla Ndiaye, résidant à Dialègne, confirme que les actes de vol et d'agression se multiplient dans leur quartier en raison de l'absence de lumière.
Une initiative citoyenne pour pallier les défaillances
Toujours selon Tribune , bien que des lampadaires soient installés dans ces zones, leur fonctionnement laisse à désirer. Le problème majeur réside dans les ampoules défectueuses ou les lampadaires solaires en panne.
Face à l'inaction des autorités, les populations des quartiers concernés ont décidé de se mobiliser. Elles se cotisent pour acheter des ampoules ou réparer les lampadaires en panne.
L'éclairage public joue un rôle crucial dans la sécurité des populations. Son absence, comme à Kaolack, ne fait qu'exacerber les problèmes d'insécurité et soulève des interrogations sur les responsabilités des pouvoirs publics.