
Le potentiel d’absorption de carbone des forêts sénégalaises, a diminué de 45,94% sur la période allant de 2005 à 2023, a-t-on appris de source officielle.
‘’Entre 2005 et 2023, ce potentiel d’absorption a diminué de 45,94%. Il est passé de moins 17,8 tonnes CO2 eq à -8,1 tonnes CO2 eq., soit une réduction de 535 046,01 tonnes CO2 eq.an-1, quantité quasi équivalente aux émissions cumulées dues à la déforestation en 2005’’, indique une étude publiée en janvier 2025, sur le niveau de Référence pour les forêts du Sénégal.
‘’La combinaison des absorptions de carbone par les puits et des émissions par les sources confirme le secteur de forêts du Sénégal comme un +puits important de carbone+, avec notamment une tendance baissière du potentiel d’absorption’’, ajoute le document dont l’APS a obtenu copie.
Selon le ministère de l’Environnement et de la Transition écologique, la déforestation a causé, de 2005 à 2023, la perte de 339 673 hectares au Sénégal, soit une moyenne annuelle estimée à 17 034 hectares.
Les forêts absorbent le dioxyde de carbone (CO2) et le stockent sous forme de biomasse dans les troncs et les branches des arbres, assurant ainsi un stockage de carbone à long terme, nécessaire contre le réchauffement climatique.
Aps
‘’Entre 2005 et 2023, ce potentiel d’absorption a diminué de 45,94%. Il est passé de moins 17,8 tonnes CO2 eq à -8,1 tonnes CO2 eq., soit une réduction de 535 046,01 tonnes CO2 eq.an-1, quantité quasi équivalente aux émissions cumulées dues à la déforestation en 2005’’, indique une étude publiée en janvier 2025, sur le niveau de Référence pour les forêts du Sénégal.
‘’La combinaison des absorptions de carbone par les puits et des émissions par les sources confirme le secteur de forêts du Sénégal comme un +puits important de carbone+, avec notamment une tendance baissière du potentiel d’absorption’’, ajoute le document dont l’APS a obtenu copie.
Selon le ministère de l’Environnement et de la Transition écologique, la déforestation a causé, de 2005 à 2023, la perte de 339 673 hectares au Sénégal, soit une moyenne annuelle estimée à 17 034 hectares.
Les forêts absorbent le dioxyde de carbone (CO2) et le stockent sous forme de biomasse dans les troncs et les branches des arbres, assurant ainsi un stockage de carbone à long terme, nécessaire contre le réchauffement climatique.
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