“Le vol de bétail est un phénomène très récurrent à Bakel. Dans nos services au niveau du département, chaque jour, on enregistre trois déclarations de vol au minimum. Et puisqu’on travaille 7 jours sur 7, la semaine on a 21 cas de vol déclarés. C’est énorme !” s’est inquiété M. Sy.
Il ajoute que parmi les cas déclarés, aucun animal n’a été encore retrouvé. Selon lui, ce phénomène est ”plus grave que la peste”, notant qu’en dehors des cas vols déclarés, ”nombreux sont ceux qui ne le sont pas”.
“Le vol de bétail bloque même l’activité de l’élevage dans la circonscription. Auparavant, c’est un sujet ou deux qui sont volés, mais maintenant c’est tout le troupeau qui emporté par les voleurs”, a-t-il regretté, signalant des aspects qui ont accentué le phénomène.
“A Bakel, il y a des phénomènes qui accentuent le vol de bétail dont le téléphone. Les voleurs communiquent avant de commettre leur forfait. L’avènement des tricycles fait que les voleurs prennent des sujets et disparaissent en un court laps de temps”, a-t-il indiqué.
A cela s’ajoute la position géographique du département qui est frontalier avec le Mali et la Mauritanie. “Dès l’instant qu’il y a un vol, les malfaiteurs traversent le fleuve avec le bétail en contournant les points de passage officiel”, signale-t-il.
Dans son discours, lors du défilé du 4 avril, le préfet du département de Bakel, Daouda Sène a engagé les forces de défense et de sécurité (FDS) à travailler ”d’arrache-pied” pour éradiquer le vol de bétail pour sécuriser le secteur de l’élevage.
“On a constaté que les vols ne se font plus la nuit mais en plein jour. C’est pourquoi, lors d’une rencontre à Tambacounda, le gouverneur nous a demandé aussi d’interpeller tout conducteur de moto Jakarta avec un animal”, confie M. Sy.
Ibnou Sy a fait également part de la présence des abattoirs clandestins à Bakel, dont le “tong-tong”, assurant que le service de l’élevage est en train de recenser les personnes qui pratiquent cette méthode pour les contrôler.
“On appelle tong-tong, un groupe d’individus qui achète un taureau dans le quartier, l’abatte pour le vendre en monceau et chacun prend sa part. Ça échappe parfois au contrôle. Mais on a commencé à recenser les gens qui font cette activité pour les contrôler au même titre que les bouchers qui sont aux abattoirs”, indique M. Sy.
Il ajoute que parmi les cas déclarés, aucun animal n’a été encore retrouvé. Selon lui, ce phénomène est ”plus grave que la peste”, notant qu’en dehors des cas vols déclarés, ”nombreux sont ceux qui ne le sont pas”.
“Le vol de bétail bloque même l’activité de l’élevage dans la circonscription. Auparavant, c’est un sujet ou deux qui sont volés, mais maintenant c’est tout le troupeau qui emporté par les voleurs”, a-t-il regretté, signalant des aspects qui ont accentué le phénomène.
“A Bakel, il y a des phénomènes qui accentuent le vol de bétail dont le téléphone. Les voleurs communiquent avant de commettre leur forfait. L’avènement des tricycles fait que les voleurs prennent des sujets et disparaissent en un court laps de temps”, a-t-il indiqué.
A cela s’ajoute la position géographique du département qui est frontalier avec le Mali et la Mauritanie. “Dès l’instant qu’il y a un vol, les malfaiteurs traversent le fleuve avec le bétail en contournant les points de passage officiel”, signale-t-il.
Dans son discours, lors du défilé du 4 avril, le préfet du département de Bakel, Daouda Sène a engagé les forces de défense et de sécurité (FDS) à travailler ”d’arrache-pied” pour éradiquer le vol de bétail pour sécuriser le secteur de l’élevage.
“On a constaté que les vols ne se font plus la nuit mais en plein jour. C’est pourquoi, lors d’une rencontre à Tambacounda, le gouverneur nous a demandé aussi d’interpeller tout conducteur de moto Jakarta avec un animal”, confie M. Sy.
Ibnou Sy a fait également part de la présence des abattoirs clandestins à Bakel, dont le “tong-tong”, assurant que le service de l’élevage est en train de recenser les personnes qui pratiquent cette méthode pour les contrôler.
“On appelle tong-tong, un groupe d’individus qui achète un taureau dans le quartier, l’abatte pour le vendre en monceau et chacun prend sa part. Ça échappe parfois au contrôle. Mais on a commencé à recenser les gens qui font cette activité pour les contrôler au même titre que les bouchers qui sont aux abattoirs”, indique M. Sy.