𝐍é𝐠𝐥𝐢𝐠𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐦é𝐝𝐢𝐜𝐚𝐥𝐞 : 𝐋𝐞 𝐦é𝐝𝐞𝐜𝐢𝐧 𝐚-𝐭-𝐢𝐥 𝐦𝐞𝐧𝐭𝐢 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐜𝐚𝐮𝐬𝐞𝐬 𝐝𝐮 𝐝é𝐜è𝐬 ?
Pourquoi un bilan et une ordonnance ont-ils été prescrits ? Si la personne était déjà décédée à son arrivée, quel était l'intérêt de réaliser ces examens ?
Le 05/01/2025, ma mère, Kiné WAD, âgée de 63 ans, a été victime d'un malaise consécutif à une hyperglycémie. Elle a été transportée d'urgence à l'hôpital FANN où elle a été prise en charge par les médecins "urgentistes": Adama SENE et son équipe.
Après une longue attente l'un de médecin lui a prescrit un bilan et une ordonnance. Malheureusement, ma mère est décédée au cours d'une perfusion administrée dans l'enceinte même de l'hôpital.
Or, le constat de décès établi par le médecin Aita SENE mentionne de manière erronée que ma mère est « arrivée décédée ». Cette falsification des faits est d'une gravité extrême et laisse présumer d'une volonté délibérée de dissimuler les circonstances réelles du décès et la responsabilité médicale encourue.
Nous estimons que le décès de ma mère est la conséquence directe d'une négligence médicale caractérisée, notamment :
Une prise en charge tardive et inadaptée: Le délai d'attente avant l'examen de ma mère a été excessivement long, ce qui a pu compromettre ses chances de survie.
Une erreur dans la prescription ou l'administration du traitement: La perfusion qui a entraîné le décès de ma mère soulève de nombreuses interrogations quant à sa pertinence et aux modalités de son administration.
Une falsification de document officiel: 𝐄𝐧 𝐦𝐞𝐧𝐭𝐢𝐨𝐧𝐧𝐚𝐧𝐭 𝐟𝐚𝐮𝐬𝐬𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐪𝐮𝐞 𝐦𝐚 𝐦è𝐫𝐞 é𝐭𝐚𝐢𝐭 𝐝é𝐣à 𝐝é𝐜é𝐝é𝐞 à 𝐬𝐨𝐧 𝐚𝐫𝐫𝐢𝐯é𝐞 à 𝐥'𝐡ô𝐩𝐢𝐭𝐚𝐥, le médecin SENE a tenté de dissimuler sa responsabilité et de nous priver de la vérité.
Ce n'est plus acceptable que tant de vies soient ainsi fauchées. Nous demandons des comptes et réclamons la vérité sur le décès de ma mère. Que son âme repose en paix.
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