Fournissant beaucoup d’effort pour entendre les mots de l’ancien Président. En direct donc, Macky Sall parle, Abdou Mbow transmet. Il a réitéré toute son implication dans la gestion du parti. Et surtout en direction des Législatives anticipées du 17 novembre 2024. D’abord, il a précisé qu’il n’a envoyé personne pour parler en son nom sur les tractations et alliances.
«Pour ce qui est de notre grande coalition, je signerai de ma propre main nos décisions. Les discussions se poursuivent. Mais sachez que plus que jamais, je suis à la tête du combat pour une victoire aux Législatives», a-t-il dit.
Dans le souci de prévenir les frustrations, Macky Sall a précisé que «ces investitures ne seront pas comme les précédentes» et a invité les uns et les autres à «oublier» leurs propres personnes et à mettre en avant les intérêts du peuple. Il a indiqué que ses réalisations couchées dans un livre-bilan est parlant et promet un programme de législature et de gouvernance.
Réponse à Sonko et Diomaye sur l’amnistie
C’est un Macky Sall offensif aussi contre son successeur qui a démarré sa traque. Pour lui, il y a une volonté de «casser» son parti et de le «salir». «Ça ne passera pas. Et nous resterons toujours debout !».
A Diomaye et Sonko qui «veulent justifier leur échec» en l’accusant d’avoir «vendu le Sénégal», l’ancien chef de l’Etat précise : «Je n’étais pas candidat et je n’étais mu que par une volonté de laisser le pays dans la paix. Et c’est pourquoi j’ai fait voter la loi d’amnistie.»
Il a botté en touche aussi les accusations de «deal» avec Diomaye et Sonko. «S’il y avait un quelconque complot avec ceux qui dirigent le pays aujourd’hui, ils (les dirigeants actuels) n’auraient pas arrêté et envoyé en prison ma famille politique. Donc, il n’y a aucun accord qui nous lie», at-il insisté. Macky Sall invite ses hommes, ses élus notamment, à se souder. «Si nous ne nous battons pas, ils vont dissoudre les collectivités territoriales comme ils l’ont fait avec l’Assemblée, et tenté de le faire avec le Cese et le Hcct», a-t-il alerté.
«J’ai rempli mon devoir envers Amadou Ba»
C’est la première fois que l’ancien Président parle de la candidature de Amadou Ba après les accusations de «sabotage» et de «soutien» à Diomaye et Sonko. A la limite, il dénonce une trahison de ceux qui sont en train de quitter le parti.
«J’ai rempli mon devoir envers le pays, envers le candidat qui, pourtant, avait rejoint ma famille politique et que j’ai choisi contre la volonté de tout le monde. J’ai financé sa campagne comme je le faisais pour moi-même. Je voudrais donc que les Sénégalais le sachent. Pour le reste, ce ne sont que des alibis pour partir», a dit Macky Sall.
«Pour ce qui est de notre grande coalition, je signerai de ma propre main nos décisions. Les discussions se poursuivent. Mais sachez que plus que jamais, je suis à la tête du combat pour une victoire aux Législatives», a-t-il dit.
Dans le souci de prévenir les frustrations, Macky Sall a précisé que «ces investitures ne seront pas comme les précédentes» et a invité les uns et les autres à «oublier» leurs propres personnes et à mettre en avant les intérêts du peuple. Il a indiqué que ses réalisations couchées dans un livre-bilan est parlant et promet un programme de législature et de gouvernance.
Réponse à Sonko et Diomaye sur l’amnistie
C’est un Macky Sall offensif aussi contre son successeur qui a démarré sa traque. Pour lui, il y a une volonté de «casser» son parti et de le «salir». «Ça ne passera pas. Et nous resterons toujours debout !».
A Diomaye et Sonko qui «veulent justifier leur échec» en l’accusant d’avoir «vendu le Sénégal», l’ancien chef de l’Etat précise : «Je n’étais pas candidat et je n’étais mu que par une volonté de laisser le pays dans la paix. Et c’est pourquoi j’ai fait voter la loi d’amnistie.»
Il a botté en touche aussi les accusations de «deal» avec Diomaye et Sonko. «S’il y avait un quelconque complot avec ceux qui dirigent le pays aujourd’hui, ils (les dirigeants actuels) n’auraient pas arrêté et envoyé en prison ma famille politique. Donc, il n’y a aucun accord qui nous lie», at-il insisté. Macky Sall invite ses hommes, ses élus notamment, à se souder. «Si nous ne nous battons pas, ils vont dissoudre les collectivités territoriales comme ils l’ont fait avec l’Assemblée, et tenté de le faire avec le Cese et le Hcct», a-t-il alerté.
«J’ai rempli mon devoir envers Amadou Ba»
C’est la première fois que l’ancien Président parle de la candidature de Amadou Ba après les accusations de «sabotage» et de «soutien» à Diomaye et Sonko. A la limite, il dénonce une trahison de ceux qui sont en train de quitter le parti.
«J’ai rempli mon devoir envers le pays, envers le candidat qui, pourtant, avait rejoint ma famille politique et que j’ai choisi contre la volonté de tout le monde. J’ai financé sa campagne comme je le faisais pour moi-même. Je voudrais donc que les Sénégalais le sachent. Pour le reste, ce ne sont que des alibis pour partir», a dit Macky Sall.