Grosse révélation du Front pour une révolution anti-impérialiste populaire et panafricaine (Frapp France Dégage), qui s’est fendu d’un communiqué pour déplorer la situation des prisonniers du Camp pénal auxquels on interdit de recevoir des repas de leurs parents. Selon les activistes, cette affaire s’explique par la présence de vendeurs d’omelettes dans la prison, qui versent 5.500 FCFA par jour. Ils accusent le directeur de la prison de sauvegarder un deal.
In extenso, le communiqué du Frapp
Alors que les Sénégalais s’entassent comme des sardines dans les stades de football, sous prétexte de coronavirus, les prisonniers du Camp pénal sont interdits de recevoir des repas de leurs parents, alors que tout le monde sait que la nourriture servie aux prisonniers des 37 établissements pénitentiaires est souvent infecte.
En réalité, ce refus de laisser entrer les repas des prisonniers du Camp pénal, s’explique par la volonté du directeur du Camp pénal de sauvegarder un deal. Ainsi il y a des vendeurs d’omelettes dans la prison qui versent 5.500 FCfa par jour à la prison du Camp pénal. Pour que ce business fleurisse, il faut empêcher les rentrées de nourriture au maximum et condamner les prisonniers du Camp pénal à acheter à la boutique du Camp pénal et les omelettes du Camp pénal.
Pis, quand les prisonniers vont pour acheter des œufs à la boutique, il n’y en a jamais pour les obliger à acheter les omelettes du Camp pénal. Le secrétariat exécutif national (SEN) du FRAPP demande à la direction de l’administration pénitentiaire, de faire cesser ce trafic et de mettre un terme au confinement culinaire des prisonniers du Camp pénal.
In extenso, le communiqué du Frapp
Alors que les Sénégalais s’entassent comme des sardines dans les stades de football, sous prétexte de coronavirus, les prisonniers du Camp pénal sont interdits de recevoir des repas de leurs parents, alors que tout le monde sait que la nourriture servie aux prisonniers des 37 établissements pénitentiaires est souvent infecte.
En réalité, ce refus de laisser entrer les repas des prisonniers du Camp pénal, s’explique par la volonté du directeur du Camp pénal de sauvegarder un deal. Ainsi il y a des vendeurs d’omelettes dans la prison qui versent 5.500 FCfa par jour à la prison du Camp pénal. Pour que ce business fleurisse, il faut empêcher les rentrées de nourriture au maximum et condamner les prisonniers du Camp pénal à acheter à la boutique du Camp pénal et les omelettes du Camp pénal.
Pis, quand les prisonniers vont pour acheter des œufs à la boutique, il n’y en a jamais pour les obliger à acheter les omelettes du Camp pénal. Le secrétariat exécutif national (SEN) du FRAPP demande à la direction de l’administration pénitentiaire, de faire cesser ce trafic et de mettre un terme au confinement culinaire des prisonniers du Camp pénal.