La cherté de la vie a une incidence directe sur la vie des populations sénégalaises. Les produits de première nécessité et autres connaissent incessamment des hausses. C’est dans ce contexte que Leral, a joint Pape Sarr (nom d’eumprunt), commercant, établi à Dakar-Plateau. L’homme de l’art, ayant une expérience solide dans ce domaine évoque une situation de crise qui risque d’anéantir l’économie des Importateurs de produits.
Ainsi, le sieur Sarr qui évolue dans l’importation de produits alimentaires et textiles, confirme la décadence de tout un secteur d’activités. En dehors du problème des conteneurs et des bateaux pour le convoyage des produits, reconnaît-il, il y a l’augmentation des coûts d’achats et des frais de transport,. « Nous avons constaté que presque les prix des produits passent au double. Nous peinons à honorer même, nos engagements pour convoyer les produits vers le Sénégal. Régulièrement, nos partenaires étrangers nous parle d’un manque de conteneurs. Et des efforts intenses sont souvent déployés pour en disposer. C’est devenu excessivement cher », a expliqué Sarr.
Ledit commercant, malgré son expérience dans le domaine du commerce international, estime que le secteur Import-export est à l’agonie. Puisque, les marchandises, une fois au Port de Dakar, prennent du temps pour être livrés. Après réception, un problème de clientèle se pose. Et souvent, le peu de clients disposés, cherchent à avoir les produits à des coûts bas. « Il nous arrive de faire une véritable gymnastique sur les prix de revente. Souvent, on est obligé de brader les marchandises pour reprendre l’activité », regrette-t-il.
Après de multiples années de travail dans le secteur, ce commercant comfirme la cherté du coût de transport d'un navire commercial de 40 pieds (12 mètres). Le coût de dépasse désormais, les 10.000 dollars, soit 545 000 FCfa. Il est à près de quatre fois son niveau de 2020. Cette hausse est encore plus élevée sur certains trajets très demandés.
Ailleurs, Ousmane Diandy, transitaire, opérant au Mole II du Port autonome de Dakar indique que les prix des conteneurs atteignent depuis plusieurs mois, des sommets exponentiels dans le monde. Et même les grandes entreprises ont du mal à trouver de la place sur certains types de navires. Ce facteur occasionne de gros retards dans la livraison à date échue des produits.
Les raisons de cette inflation des prix des denrées de première nécessité, de produits de consommation et autres matériels, s’expliquent par ces facteurs. L’Etat, malgré sa volonté de secourir ses populations, ne peut rien faire pour empêcher la cherté de vie. « Le commercant ne peut pas revendre ses produits à perte. Et, c’est la situation du marché mondial qui change drastiquement. Elle se joue dans l’importation des produits et la disponibilité de conteneurs pour le transport de marchandises », rappelle Ousmane Diandy.
L’inflation incomprise et insupportable des prix des denrées et autres matériaux de base, va demeurer. L’Etat, insiste-t-il, n’a pas la maîtrise de la situation pour freiner la flambée des prix. Présentement, l’Etat tempère et cherche à rassurer les populations.
Ainsi, le sieur Sarr qui évolue dans l’importation de produits alimentaires et textiles, confirme la décadence de tout un secteur d’activités. En dehors du problème des conteneurs et des bateaux pour le convoyage des produits, reconnaît-il, il y a l’augmentation des coûts d’achats et des frais de transport,. « Nous avons constaté que presque les prix des produits passent au double. Nous peinons à honorer même, nos engagements pour convoyer les produits vers le Sénégal. Régulièrement, nos partenaires étrangers nous parle d’un manque de conteneurs. Et des efforts intenses sont souvent déployés pour en disposer. C’est devenu excessivement cher », a expliqué Sarr.
Ledit commercant, malgré son expérience dans le domaine du commerce international, estime que le secteur Import-export est à l’agonie. Puisque, les marchandises, une fois au Port de Dakar, prennent du temps pour être livrés. Après réception, un problème de clientèle se pose. Et souvent, le peu de clients disposés, cherchent à avoir les produits à des coûts bas. « Il nous arrive de faire une véritable gymnastique sur les prix de revente. Souvent, on est obligé de brader les marchandises pour reprendre l’activité », regrette-t-il.
Après de multiples années de travail dans le secteur, ce commercant comfirme la cherté du coût de transport d'un navire commercial de 40 pieds (12 mètres). Le coût de dépasse désormais, les 10.000 dollars, soit 545 000 FCfa. Il est à près de quatre fois son niveau de 2020. Cette hausse est encore plus élevée sur certains trajets très demandés.
Ailleurs, Ousmane Diandy, transitaire, opérant au Mole II du Port autonome de Dakar indique que les prix des conteneurs atteignent depuis plusieurs mois, des sommets exponentiels dans le monde. Et même les grandes entreprises ont du mal à trouver de la place sur certains types de navires. Ce facteur occasionne de gros retards dans la livraison à date échue des produits.
Les raisons de cette inflation des prix des denrées de première nécessité, de produits de consommation et autres matériels, s’expliquent par ces facteurs. L’Etat, malgré sa volonté de secourir ses populations, ne peut rien faire pour empêcher la cherté de vie. « Le commercant ne peut pas revendre ses produits à perte. Et, c’est la situation du marché mondial qui change drastiquement. Elle se joue dans l’importation des produits et la disponibilité de conteneurs pour le transport de marchandises », rappelle Ousmane Diandy.
L’inflation incomprise et insupportable des prix des denrées et autres matériaux de base, va demeurer. L’Etat, insiste-t-il, n’a pas la maîtrise de la situation pour freiner la flambée des prix. Présentement, l’Etat tempère et cherche à rassurer les populations.