Les carences du système démocratique doivent-elles inciter à la justice populaire ? « Le Témoin » quotidien tente de chercher la réponse dans les émeutes de mars 2021 où le peuple s’était érigé en bouclier pour empêcher l’arrestation de l’opposant Ousmane Sonko. C’était dans l’affaire Adji Sarr. Et quelques mois après, lors des élections locales de janvier dernier, ce même peuple a traduit Ousmane Sonko devant le tribunal de la rue pour le juger. Un procès à l’issue duquel non seulement le jury populaire a relaxé le leader de Pastef mais encore l’a élu maire de Ziguinchor. Au suivant ! Il s’agit de l’ex-capitaine de gendarmerie Seydina Oumar Touré dont la radiation est qualifiée d’ « arbitraire » par le peuple sénégalais.
Quelques mois après cette radiation, mentionne LeTémoin, le verdict de la justice populaire ou démocratique est tombé ! Pour rétablir le bonhomme dans ses droits, le peuple numérique ou physique lui a lancé a lancé une cagnotte sociale en sa faveur qui a permis de récolter plus de 30 millions CFA. Et pour qu’il continue à vivre dignement, lui Touré et sa famille, le maire de Dakar-Ville Barthélemy Dias lui a offert un boulot. A l’analyse, le Sénégal vit au rythme des verdicts de la justice populaire ou tribunal de la…rue. Tout ça à cause des « hommes allumettes » et autres faucons politiquement désespérés comme Moustapha Diakhaté qui vont un jour bruler le pays.
Quelques mois après cette radiation, mentionne LeTémoin, le verdict de la justice populaire ou démocratique est tombé ! Pour rétablir le bonhomme dans ses droits, le peuple numérique ou physique lui a lancé a lancé une cagnotte sociale en sa faveur qui a permis de récolter plus de 30 millions CFA. Et pour qu’il continue à vivre dignement, lui Touré et sa famille, le maire de Dakar-Ville Barthélemy Dias lui a offert un boulot. A l’analyse, le Sénégal vit au rythme des verdicts de la justice populaire ou tribunal de la…rue. Tout ça à cause des « hommes allumettes » et autres faucons politiquement désespérés comme Moustapha Diakhaté qui vont un jour bruler le pays.