Elle est devancée par des établissements comme l’Université de Ouagadougou (Burkina Faso, 18e), l’Université Makerere (Ouganda, 20e), University of Khartoum (Soudan, 26e).
Le classement est dominé par les universités sud-africaines et égyptiennes qui, seules, occupent les dix premières places.
Parmi les critères considérés, il y a la qualité et la disponibilité sur le Web des recherches des professeurs, des mémoires des étudiants et des cours en ligne. «À ce niveau, il y a encore des progrès à faire dans la plupart des universités d’Afrique du Nord et de la zone francophone d’Afrique subsaharienne», renseigne l’étude.
Celle-ci souligne que la faiblesse de la langue française dans le monde, par rapport à l’anglais, constitue un handicap majeur pour ces pays, qui sont les moins bien placés.
(Source : L’Observateur)
Le classement est dominé par les universités sud-africaines et égyptiennes qui, seules, occupent les dix premières places.
Parmi les critères considérés, il y a la qualité et la disponibilité sur le Web des recherches des professeurs, des mémoires des étudiants et des cours en ligne. «À ce niveau, il y a encore des progrès à faire dans la plupart des universités d’Afrique du Nord et de la zone francophone d’Afrique subsaharienne», renseigne l’étude.
Celle-ci souligne que la faiblesse de la langue française dans le monde, par rapport à l’anglais, constitue un handicap majeur pour ces pays, qui sont les moins bien placés.
(Source : L’Observateur)