Pire encore, ajoute son communiqué, certaines femmes victimes de violences se retrouvent emprisonnées pour d’autres motifs, ce qui illustre une double injustice. Cette affaire n’est malheureusement pas un cas isolé, elle met en lumière la réalité tragique que vivent de nombreuses femmes au Sénégal, victimes de violences physiques et morales au sein de leur foyer.
C’est en ce sens que ADHA rappelle que l’intégrité physique et morale est un pilier fondamental des droits humains. La violence, en particulier celle dirigée contre les femmes, constitue une violation grave de ces droits.
Selon leurs chiffres, au Sénégal, les femmes, qui représentent 49,4 % de la population avec un total de 8 900 614 personnes, subissent chaque année des abus sexuels, des violences conjugales graves et, dans certains cas, sont victimes de meurtres sous les coups de leurs conjoints, ex-conjoints ou proches.
« Selon les chiffres de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) publiés en 2022, 27 % des femmes sénégalaises âgées de 15 à 49 ans ont subi des violences physiques depuis l’âge de 15 ans, et dans 55 % des cas, l’auteur de ces violences est le mari ou le partenaire. La violence basée sur le genre est l’une des violations des droits humains les plus fréquentes, mais aussi l’une des moins visibles ». Révèle l’ONG ADHA
À l’approche du 25 novembre, journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, instituée par les Nations Unies en 1999, ADHA réaffirme l’urgence de combattre cette violence. Le Sénégal, signataire du Protocole de Maputo, s’est engagé, conformément aux articles 3 et 4 de ce texte, à garantir le droit à la dignité, à la vie, à l’intégrité et à la sécurité des femmes.
ADHA exhorte les autorités judiciaires à se saisir de cette affaire et à prendre des mesures concrètes pour rendre justice aux victimes.
« Il est impératif de renforcer l’arsenal répressif contre la violence à l’égard des femmes afin de mettre fin à cette impunité. »
Son bureau exécutif assure que Action pour les Droits Humains et l’Amitié reste vigilante et mobilisée pour s’assurer du respect des droits fondamentaux de toutes les femmes.
C’est en ce sens que ADHA rappelle que l’intégrité physique et morale est un pilier fondamental des droits humains. La violence, en particulier celle dirigée contre les femmes, constitue une violation grave de ces droits.
Selon leurs chiffres, au Sénégal, les femmes, qui représentent 49,4 % de la population avec un total de 8 900 614 personnes, subissent chaque année des abus sexuels, des violences conjugales graves et, dans certains cas, sont victimes de meurtres sous les coups de leurs conjoints, ex-conjoints ou proches.
« Selon les chiffres de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) publiés en 2022, 27 % des femmes sénégalaises âgées de 15 à 49 ans ont subi des violences physiques depuis l’âge de 15 ans, et dans 55 % des cas, l’auteur de ces violences est le mari ou le partenaire. La violence basée sur le genre est l’une des violations des droits humains les plus fréquentes, mais aussi l’une des moins visibles ». Révèle l’ONG ADHA
À l’approche du 25 novembre, journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, instituée par les Nations Unies en 1999, ADHA réaffirme l’urgence de combattre cette violence. Le Sénégal, signataire du Protocole de Maputo, s’est engagé, conformément aux articles 3 et 4 de ce texte, à garantir le droit à la dignité, à la vie, à l’intégrité et à la sécurité des femmes.
ADHA exhorte les autorités judiciaires à se saisir de cette affaire et à prendre des mesures concrètes pour rendre justice aux victimes.
« Il est impératif de renforcer l’arsenal répressif contre la violence à l’égard des femmes afin de mettre fin à cette impunité. »
Son bureau exécutif assure que Action pour les Droits Humains et l’Amitié reste vigilante et mobilisée pour s’assurer du respect des droits fondamentaux de toutes les femmes.