Se disant toujours ouvert au dialogue pour fournir toutes les explications aux étudiants, M. Seck n’en est pas pour autant tendre avec le déchainement de certains étudiants qui vendredi ont saccagé des vitres, dégonflé des pneus de véhicules, séquestré le personnel et bloqué l’accès à l’université.
Tout est parti du mécontentement des étudiants inscrits en année de licence à l’UFR de sciences appliquées aux technologies de l’informatique et de la communication (SATIC) dont certains n’ont pas apprécié d’être laissés en rade dans la sélection de cohorte admise en master.
»Le Master n’est pas un prolongement de la licence dans la mesure où l’appel d’offres est national et on prend les meilleurs. Quand c’est possible on le fait et quand ce n’est pas possible de le faire, il faut avoir le courage de dire que ce n’est pas possible , a indiqué le recteur, samedi à Bambey.
Selon lui, l’encadrement rapproché est recherché et détermine le nombre de place à mettre en compétition. Ainsi, avec six enseignants titulaires seuls aptes à encadrer des étudiants en master, l’université a choisi 10 sur 20 étudiants de Bambey pour suivre le Master en énergie renouvelable.
»Nous avons déjà une année très compliquée et très difficile en termes de calendrier. Or, on est en train de perdre du temps. Sans les perturbations, l’année devait se terminer en novembre », a-t-il rappelé, soulignant tout étudiant identifié dans des actes d’agression ou de destruction au niveau de l’université sera traduit en justice.
Tout est parti du mécontentement des étudiants inscrits en année de licence à l’UFR de sciences appliquées aux technologies de l’informatique et de la communication (SATIC) dont certains n’ont pas apprécié d’être laissés en rade dans la sélection de cohorte admise en master.
»Le Master n’est pas un prolongement de la licence dans la mesure où l’appel d’offres est national et on prend les meilleurs. Quand c’est possible on le fait et quand ce n’est pas possible de le faire, il faut avoir le courage de dire que ce n’est pas possible , a indiqué le recteur, samedi à Bambey.
Selon lui, l’encadrement rapproché est recherché et détermine le nombre de place à mettre en compétition. Ainsi, avec six enseignants titulaires seuls aptes à encadrer des étudiants en master, l’université a choisi 10 sur 20 étudiants de Bambey pour suivre le Master en énergie renouvelable.
»Nous avons déjà une année très compliquée et très difficile en termes de calendrier. Or, on est en train de perdre du temps. Sans les perturbations, l’année devait se terminer en novembre », a-t-il rappelé, soulignant tout étudiant identifié dans des actes d’agression ou de destruction au niveau de l’université sera traduit en justice.