D’après le quotidien Bes Bi, c’est parce que le Saes s’insurge contre «un déficit budgétaire (budget ne couvrant que 8 mois de salaires) de plus de 50%, une absence d’infrastructures pédagogiques et administratives autonomes pour chaque Ufr et Institut.
A cela s’ajoute une persistance des problèmes d’électricité et d’approvisionnement en eau dans le campus de Bambey, une massification incontrôlée des effectifs d’étudiants sans accompagnement budgétaire ni infrastructurel».
Ainsi, la coordination déroule ce plan d’action pour exiger «un audit financier, comptable et administratif, une dotation d’un budget suffisant par l’Etat du Sénégal, un plan infrastructurel d’urgence»
A cela s’ajoute une persistance des problèmes d’électricité et d’approvisionnement en eau dans le campus de Bambey, une massification incontrôlée des effectifs d’étudiants sans accompagnement budgétaire ni infrastructurel».
Ainsi, la coordination déroule ce plan d’action pour exiger «un audit financier, comptable et administratif, une dotation d’un budget suffisant par l’Etat du Sénégal, un plan infrastructurel d’urgence»