Demba Guèye habite à Dakar. Il est venu à Saly travailler comme maçon dans les chantiers. Mais ce Baye Fall est un adepte de Bacchus et compte sur le vol pour goûter à la saveur des plus chers liqueurs.
«Moi, l’alcool, ce n’est pas en réalité mon dada. Je préfère plutôt fumer. J’étais venu à Saly pour travailler, gagner de l’argent pour mon marabout. Je faisais du ‘’maajal’’ et je ne sais vraiment pas comment j’ai pu atterrir dans le magasin car j’étais ivre. Pour la deuxième fois, je me rends compte du danger de l’alcool. La première fois, c’était à Dakar. Je suis rentré chez moi ivre sans même m’en rendre compte. C’est au réveil que j’ai su ce qui m’était arrivé», déclare le prévenu.
Volubile, il ne laissait pas le Président lui poser ses questions.
«Votre état d’ivresse ne vous a pas empêché de porter votre choix sur les liqueurs les plus chères et de passer derrière la caisse tout en dissimulant les bouteilles. Vous ne savez pas que l’essentiel des caméras est dirigé sur ces boissons onéreuses», lui rappelle le Président.
«Je ne savais pas ce que je faisais. Ces deux semaines passées en prison ont été un calvaire. C’est vraiment dur. On m’a même coupé mes rastas et cela m’a fait très mal. Tout cela, c’est à cause de l’alcool», ajoute le prévenu.
«Moi, l’alcool, ce n’est pas en réalité mon dada. Je préfère plutôt fumer. J’étais venu à Saly pour travailler, gagner de l’argent pour mon marabout. Je faisais du ‘’maajal’’ et je ne sais vraiment pas comment j’ai pu atterrir dans le magasin car j’étais ivre. Pour la deuxième fois, je me rends compte du danger de l’alcool. La première fois, c’était à Dakar. Je suis rentré chez moi ivre sans même m’en rendre compte. C’est au réveil que j’ai su ce qui m’était arrivé», déclare le prévenu.
Volubile, il ne laissait pas le Président lui poser ses questions.
«Votre état d’ivresse ne vous a pas empêché de porter votre choix sur les liqueurs les plus chères et de passer derrière la caisse tout en dissimulant les bouteilles. Vous ne savez pas que l’essentiel des caméras est dirigé sur ces boissons onéreuses», lui rappelle le Président.
«Je ne savais pas ce que je faisais. Ces deux semaines passées en prison ont été un calvaire. C’est vraiment dur. On m’a même coupé mes rastas et cela m’a fait très mal. Tout cela, c’est à cause de l’alcool», ajoute le prévenu.