Selon nos informations, le jour de son arrestation, en fin d'après-midi, une présumée victime s'est présentée au commissariat pour annoncer qu'elle a localisé l'ordinateur portable MacBook de sa fille qui a été volé le sept courant dans un atelier sis à Thiaroye. Sur le champ, les éléments de la brigade de recherches ont effectué une descente inopinée sur les lieux, afin de tirer cette affaire au clair.
Une fois sur place, ils ont découvert la machine dans la vitrine du mis en cause, le clavier démonté. À la question de connaitre la provenance de l’ordinateur, S. M. Ngom a tenté de nier les faits qui lui sont reprochés en déclarant l'avoir acheté depuis plus de deux ans auprès d'un individu, sans convaincre les limiers.
Dans le cadre de cette enquête, selon nos informations, une perquisition a été effectuée dans l'atelier. Ce qui a permis d'y découvrir un lot de matériel informatique important et qui a intrigué les brigadiers de recherches.
Il s'agit de huit ordinateurs fonctionnels de provenance douteuse, 11 ordinateurs de provenance douteuse en réparation, 11 téléphones portables fonctionnels de provenance douteuse, six téléphones portables en réparation, six tablettes, deux ordinateurs portables avec des logiciels de boot de téléphones et d'ordinateurs, deux disques durs externes contenant des systèmes d'exploitation pour ordinateur et téléphone portable. À cela s'ajoutent cinq disques durs de provenance douteuse.
Interrogé sur l'origine de tout ce dispositif, il a été dans l'impossibilité de fournir la moindre réponse, selon nos sources. Ce qui lui a valu d'être déféré au parquet à la fin de sa période de garde à vue.
Une fois sur place, ils ont découvert la machine dans la vitrine du mis en cause, le clavier démonté. À la question de connaitre la provenance de l’ordinateur, S. M. Ngom a tenté de nier les faits qui lui sont reprochés en déclarant l'avoir acheté depuis plus de deux ans auprès d'un individu, sans convaincre les limiers.
Dans le cadre de cette enquête, selon nos informations, une perquisition a été effectuée dans l'atelier. Ce qui a permis d'y découvrir un lot de matériel informatique important et qui a intrigué les brigadiers de recherches.
Il s'agit de huit ordinateurs fonctionnels de provenance douteuse, 11 ordinateurs de provenance douteuse en réparation, 11 téléphones portables fonctionnels de provenance douteuse, six téléphones portables en réparation, six tablettes, deux ordinateurs portables avec des logiciels de boot de téléphones et d'ordinateurs, deux disques durs externes contenant des systèmes d'exploitation pour ordinateur et téléphone portable. À cela s'ajoutent cinq disques durs de provenance douteuse.
Interrogé sur l'origine de tout ce dispositif, il a été dans l'impossibilité de fournir la moindre réponse, selon nos sources. Ce qui lui a valu d'être déféré au parquet à la fin de sa période de garde à vue.