Dénommée Mouvement forces vives du Sénégal F24, la cérémonie de lancement a réuni plusieurs responsables politiques dont Ousmane Sonko, Aminata Touré, Dr Abdourahmane Diouf, Thierno Alassane Sall, Malick Gakou qui ont déjà déclaré leur candidature à la prochaine élection présidentielle.
Coordonné par Mamadou Mbodj, ancien responsable du M23, ce nouveau Mouvement des forces vives du Sénégal a d’ores déjà annoncé une grande mobilisation le 12 mai prochain « contre la troisième candidature anticonstitutionnelle du Président Macky Sall ».
Ce rassemblement sera suivi par, selon Mamadou Mbodj, par « une série de manifestations prévue dans tout le territoire national et dans la diaspora pour faire entendre raison au Président Macky Sall et l’amener à respecter la loi afin que le Sénégal puisse continuer son rayonnement en Afrique et dans le monde ».
Au-delà de la 3ème candidature de l’actuel chef de l’Etat, Mamadou Mbodj renseigne également que cette nouvelle plateforme se battra pour la « suppression des articles L29 et L30 et de tout autre article du code électoral et de tous les artifices juridico politiques tels que le parrainage et les verdicts commandités ayant empêché ou susceptibles de rendre inéligibles des prétendants à la présidentielle de 2024 en dehors de règles définies de manière consensuelle».
Sudquotidiensn
Coordonné par Mamadou Mbodj, ancien responsable du M23, ce nouveau Mouvement des forces vives du Sénégal a d’ores déjà annoncé une grande mobilisation le 12 mai prochain « contre la troisième candidature anticonstitutionnelle du Président Macky Sall ».
Ce rassemblement sera suivi par, selon Mamadou Mbodj, par « une série de manifestations prévue dans tout le territoire national et dans la diaspora pour faire entendre raison au Président Macky Sall et l’amener à respecter la loi afin que le Sénégal puisse continuer son rayonnement en Afrique et dans le monde ».
Au-delà de la 3ème candidature de l’actuel chef de l’Etat, Mamadou Mbodj renseigne également que cette nouvelle plateforme se battra pour la « suppression des articles L29 et L30 et de tout autre article du code électoral et de tous les artifices juridico politiques tels que le parrainage et les verdicts commandités ayant empêché ou susceptibles de rendre inéligibles des prétendants à la présidentielle de 2024 en dehors de règles définies de manière consensuelle».
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