Pourtant, la position de la cité religieuse a toujours été claire. Dès le temps de Serigne Abdou Ahad Mbacké, troisième Khalife général des Mourides, la lutte contre les jeux de hasard et toutes les pratiques assimilées à des vices a été érigée en priorité.
Serigne Abdou Ahad, connu pour sa rigueur morale et son attachement aux principes islamiques, a pris des mesures fermes pour bannir les jeux d’argent, aussi bien dans les espaces publics que privés.
Tous les marabouts qui lui ont succédé ont réaffirmé cette ligne de conduite, refusant catégoriquement toute forme de tolérance envers le hasard, considéré comme une porte vers la perte spirituelle et la dégradation sociale.
Avec l’arrivée d’Internet, les jeux de hasard se sont digitalisés, échappant au contrôle physique mais non au regard des autorités religieuses. Plusieurs sermons et « ndigëls » (recommandations religieuses) ont été émis, rappelant aux fidèles le caractère illicite (haram) de ces pratiques et les dangers pour la jeunesse, la famille et la société. À Touba, l’attachement aux enseignements de Serigne Abdou Ahad reste fort : le refus du jeu d’argent, même sous ses formes modernes, s’impose à tous les croyants.
Des voix s’élèvent aujourd’hui pour appeler à la vigilance : les marabouts sont invités à redoubler d’efforts pour sensibiliser et protéger la jeunesse contre ce fléau numérique, qui va à l’encontre de l’héritage moral laissé par les illustres guides religieux de Touba. Plus que jamais, le rappel des valeurs inculquées par Serigne Abdou Ahad et ses successeurs doit guider la communauté face aux défis de la modernité.
Serigne Abdou Ahad, connu pour sa rigueur morale et son attachement aux principes islamiques, a pris des mesures fermes pour bannir les jeux d’argent, aussi bien dans les espaces publics que privés.
Tous les marabouts qui lui ont succédé ont réaffirmé cette ligne de conduite, refusant catégoriquement toute forme de tolérance envers le hasard, considéré comme une porte vers la perte spirituelle et la dégradation sociale.
Avec l’arrivée d’Internet, les jeux de hasard se sont digitalisés, échappant au contrôle physique mais non au regard des autorités religieuses. Plusieurs sermons et « ndigëls » (recommandations religieuses) ont été émis, rappelant aux fidèles le caractère illicite (haram) de ces pratiques et les dangers pour la jeunesse, la famille et la société. À Touba, l’attachement aux enseignements de Serigne Abdou Ahad reste fort : le refus du jeu d’argent, même sous ses formes modernes, s’impose à tous les croyants.
Des voix s’élèvent aujourd’hui pour appeler à la vigilance : les marabouts sont invités à redoubler d’efforts pour sensibiliser et protéger la jeunesse contre ce fléau numérique, qui va à l’encontre de l’héritage moral laissé par les illustres guides religieux de Touba. Plus que jamais, le rappel des valeurs inculquées par Serigne Abdou Ahad et ses successeurs doit guider la communauté face aux défis de la modernité.
