La société civile tente d’éteindre le feu entre la presse et les nouvelles autorités. Le 15 août dernier, des organisations réunies autour de «Forces vives» ont reçu une délégation des patrons de presse, indique un communiqué signé par une quinzaine de personnes. Elles estiment que ce «bras de fer doit être surmonté par le dialogue entre les deux parties».
En effet, rappellent Forces vives, «le journalisme est l’épine dorsale de la démocratie, une force qui éclaire les citoyens, et façonne l’opinion publique».
Par conséquent, il est «incontestable que les destins de la presse et du pouvoir sont intimement liés» et «constituent deux piliers forts de la démocratie».
Forces vives exhorte les deux parties à «se retrouver autour d’une table pour discuter dans l’intérêt supérieur de la Nation» et se dit «disposé à accompagner les deux parties dans cette perspective».
Bes Bi
En effet, rappellent Forces vives, «le journalisme est l’épine dorsale de la démocratie, une force qui éclaire les citoyens, et façonne l’opinion publique».
Par conséquent, il est «incontestable que les destins de la presse et du pouvoir sont intimement liés» et «constituent deux piliers forts de la démocratie».
Forces vives exhorte les deux parties à «se retrouver autour d’une table pour discuter dans l’intérêt supérieur de la Nation» et se dit «disposé à accompagner les deux parties dans cette perspective».
Bes Bi