« Appréciant le plan d’actions lancé les 21 et 22 mars 2023 dans le cadre du G7, le Saemss et le Cusems déplorent l’évaluation tardive, dans un contexte marqué par un quasi immobilisme relativement à la mise en œuvre des accords signés le 30 avril 2018 et le 26 février 2022.
Par ailleurs, les deux syndicats condamnent avec véhémence, les prélèvements sauvages et inacceptables effectués sur les salaires au mépris des dispositions réglementaires. Aussi, exigent-ils des autorités le strict respect des dispositions légales en la matière, au lieu de se servir de ce prétexte pour spolier d’honnêtes travailleurs comme en attestent les retenues abusives notées sur les bulletins de salaire de nombreux fonctionnaires et contractuels », rapporte le communiqué.
La même source d’ajouter, « face à ce dilatoire et aux tentatives d’intimidation qui illustrent le manque de volonté du Gouvernement, le Saemss et le Cusems exhortent les militants à se mobiliser pour exiger la convocation immédiate du Comité de Suivi des Accords, la révision du statut des décisionnaires, le démarrage de la formation des collègues MEPS, des professeurs de philosophie, des PC issus du recrutement des 5.000 enseignants, des chargés de cours et des METP, des demandeurs de mise-en position de stage et l’organisation des passerelles professionnelles ; l’apurement des prêts au logement et la mise à disposition des parcelles; et l’examen des questions nouvelles inscrites dans les préavis des syndicats et la sortie des arrêtés de nomination des chefs d’établissements et la catégorisation des lycées ».
Le Saemss et le Cusems condamnent « avec fermeté, les violations permanentes des libertés individuelles et collectives et les arrestations arbitraires d’enseignants, dont le seul tort demeure l’exercice d’un droit constitutionnel ». Non sans « inviter les autorités à libérer les enseignants détenus ».
sudquotidien.sn
Par ailleurs, les deux syndicats condamnent avec véhémence, les prélèvements sauvages et inacceptables effectués sur les salaires au mépris des dispositions réglementaires. Aussi, exigent-ils des autorités le strict respect des dispositions légales en la matière, au lieu de se servir de ce prétexte pour spolier d’honnêtes travailleurs comme en attestent les retenues abusives notées sur les bulletins de salaire de nombreux fonctionnaires et contractuels », rapporte le communiqué.
La même source d’ajouter, « face à ce dilatoire et aux tentatives d’intimidation qui illustrent le manque de volonté du Gouvernement, le Saemss et le Cusems exhortent les militants à se mobiliser pour exiger la convocation immédiate du Comité de Suivi des Accords, la révision du statut des décisionnaires, le démarrage de la formation des collègues MEPS, des professeurs de philosophie, des PC issus du recrutement des 5.000 enseignants, des chargés de cours et des METP, des demandeurs de mise-en position de stage et l’organisation des passerelles professionnelles ; l’apurement des prêts au logement et la mise à disposition des parcelles; et l’examen des questions nouvelles inscrites dans les préavis des syndicats et la sortie des arrêtés de nomination des chefs d’établissements et la catégorisation des lycées ».
Le Saemss et le Cusems condamnent « avec fermeté, les violations permanentes des libertés individuelles et collectives et les arrestations arbitraires d’enseignants, dont le seul tort demeure l’exercice d’un droit constitutionnel ». Non sans « inviter les autorités à libérer les enseignants détenus ».
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