Selon l'annonce parvenue à notre rédaction, ce projet s'inscrit dans la Stratégie de Souveraineté Alimentaire (SSA) du Ministère de l'Agriculture, de la Souveraineté Alimentaire et de l'Élevage (MASAE), en cohérence avec la vision gouvernementale du référentiel 2050 pour un Sénégal autosuffisant, équitable et prospère. Chaque ferme, d'une superficie de 20 hectares extensible à 200 hectares, sera subdivisée en parcelles individuelles de 1 à 5 hectares, attribuées aux bénéficiaires.
L'objectif principal est de réduire la dépendance alimentaire du pays, qui importe chaque année pour 1 070 milliards FCfa de denrées alimentaires. Selon le ministre Mabouba Diagne, limiter les importations et promouvoir une « nouvelle approche » du développement agricole, est essentiel pour la souveraineté alimentaire et la rétention des emplois locaux.
Un modèle structurant et modernisé
Le projet repose sur une approche intégrée mobilisant plusieurs acteurs :
• L'ANIDA (Agence Nationale d'Insertion et de Développement Agricole) réalise 30 fermes (600 ha)
• La DBRLA (Direction des Bassins de Rétention et des Lacs Artificiels) en construira 20 fermes (400 ha)
Ces fermes modernes seront dotées de systèmes d'irrigation avancés (pivot, goutte-à -goutte, aspersion), de fourrages solaires et groupes électrogènes, de bassins de stockage d'eau, ainsi que de magasins de stockage et de serres.
Un comité technique multi acteurs, sous la tutelle du MASAE, travaille à la modélisation des CAC, avec des solutions de mécanisation et de financement. Les agences d'exécution recommandent également la mise en place de fonds de roulement et de services de conseil agricole, pour assurer le suivi et la planification des activités.
Le processus d' identification des sites est actuellement en cours, en partenariat avec les collectivités locales. Fort de l'expérience des projets antérieurs en irrigation, le FSRP SN s'affirme comme un acteur clé du renouveau agricole sénégalais, visant à transformer cette ambition en réalité.
L'objectif principal est de réduire la dépendance alimentaire du pays, qui importe chaque année pour 1 070 milliards FCfa de denrées alimentaires. Selon le ministre Mabouba Diagne, limiter les importations et promouvoir une « nouvelle approche » du développement agricole, est essentiel pour la souveraineté alimentaire et la rétention des emplois locaux.
Un modèle structurant et modernisé
Le projet repose sur une approche intégrée mobilisant plusieurs acteurs :
• L'ANIDA (Agence Nationale d'Insertion et de Développement Agricole) réalise 30 fermes (600 ha)
• La DBRLA (Direction des Bassins de Rétention et des Lacs Artificiels) en construira 20 fermes (400 ha)
Ces fermes modernes seront dotées de systèmes d'irrigation avancés (pivot, goutte-à -goutte, aspersion), de fourrages solaires et groupes électrogènes, de bassins de stockage d'eau, ainsi que de magasins de stockage et de serres.
Un comité technique multi acteurs, sous la tutelle du MASAE, travaille à la modélisation des CAC, avec des solutions de mécanisation et de financement. Les agences d'exécution recommandent également la mise en place de fonds de roulement et de services de conseil agricole, pour assurer le suivi et la planification des activités.
Le processus d' identification des sites est actuellement en cours, en partenariat avec les collectivités locales. Fort de l'expérience des projets antérieurs en irrigation, le FSRP SN s'affirme comme un acteur clé du renouveau agricole sénégalais, visant à transformer cette ambition en réalité.