Tambacounda où il était dimanche pour présider une finale de football, l’ancien Premier ministre, Souleymane Ndéné Ndiaye, s’est prononcé, sur plusieurs sujets notamment la pauvreté au Sénégal. D'ailleurs, sur ce point, le leader de l’Union nationale patriotique (Unp) a affirmé que "la réalité est troublante. L’Etat a trompé les populations. La situation de 2010 est différente de celle d’aujourd’hui. Il fallait construire des infrastructures avant de faire un décret par simple signature. Dans certains villages érigés en commune, il y a même pas de poste de santé, ni d’école encore moins d’électricité et d’eau courante Macky Sall et son régime n’ont pas les compétences pour diriger ce pays".
S’agissant du classement du Sénégal parmi les pays les plus pauvres, Jules Ndéné soutient qu’il ne s’agit pas de polémiquer sur ce sujet car le gouvernement du Sénégal, sa mission, c’est d’éradiquer la pauvreté et de créer les conditions du développement du Sénégal. "Le gouvernement est mieux placé que quiconque pour savoir que le Sénégal a reculé. Il faut être aveugle pour le nier. Le classement du Fmi ne reflète que la réalité et ceci montre les disparités qu’il y a dans ce pays. Nous sommes un pays pauvre. Il faut parcourir les villages et les villes du Sénégal pour s’en rendre compte. Les populations vivent mal aujourd’hui. Elles vivent pire que ce qu’elles vivaient en 2012. Les revenus des pays ont chuté. Il n’y a pas de création d’emplois. Les Sénégalais ne sont pas heureux", constate M. Ndiaye.
S’agissant du classement du Sénégal parmi les pays les plus pauvres, Jules Ndéné soutient qu’il ne s’agit pas de polémiquer sur ce sujet car le gouvernement du Sénégal, sa mission, c’est d’éradiquer la pauvreté et de créer les conditions du développement du Sénégal. "Le gouvernement est mieux placé que quiconque pour savoir que le Sénégal a reculé. Il faut être aveugle pour le nier. Le classement du Fmi ne reflète que la réalité et ceci montre les disparités qu’il y a dans ce pays. Nous sommes un pays pauvre. Il faut parcourir les villages et les villes du Sénégal pour s’en rendre compte. Les populations vivent mal aujourd’hui. Elles vivent pire que ce qu’elles vivaient en 2012. Les revenus des pays ont chuté. Il n’y a pas de création d’emplois. Les Sénégalais ne sont pas heureux", constate M. Ndiaye.
