Le secrétariat exécutif national de l’Untj se désole que la circulaire arrive au moment où les différents acteurs s’activent à trouver des solutions durables pour le bien-être des travailleurs et des usagers du secteur public de la justice.
Ainsi le syndicat dénonce ce recours à des méthodes classiques aux antipodes du management actuel et qui prend le contrepied de l’appel au dialogue, lancé par le Président de la République.
Pour l’instance dirigeante de l’Untj, cette vaine tentative d’intimidation et de musèlement est un manque de respect vis à vis des travailleurs de la justice et démontre à suffisance que le garde des Sceaux n’est préoccupé ni par le fonctionnement de son ministère encore moins par le bon traitement des travailleurs qui sont sous sa tutelle.
D’après le communiqué reçu à «L’As », les travailleurs de la Justice estiment que la circulaire leur renforce plus qu’elle ne leur démobilise et prouve l’impact réel de son mouvement d’humeur sur l’étendue du territoire national. Les travailleurs de la Justice fustigent également le recours abusif au greffier ad hoc qui est une pure arnaque faite aux usagers du service public de la justice.
A leur en croire, par cet acte, le ministre de la Justice vient de démontrer son incapacité à gérer une crise. Ils lancent un appel au Premier ministre et au Président de la République pour trouver une solution à leurs revendications.
Ainsi le syndicat dénonce ce recours à des méthodes classiques aux antipodes du management actuel et qui prend le contrepied de l’appel au dialogue, lancé par le Président de la République.
Pour l’instance dirigeante de l’Untj, cette vaine tentative d’intimidation et de musèlement est un manque de respect vis à vis des travailleurs de la justice et démontre à suffisance que le garde des Sceaux n’est préoccupé ni par le fonctionnement de son ministère encore moins par le bon traitement des travailleurs qui sont sous sa tutelle.
D’après le communiqué reçu à «L’As », les travailleurs de la Justice estiment que la circulaire leur renforce plus qu’elle ne leur démobilise et prouve l’impact réel de son mouvement d’humeur sur l’étendue du territoire national. Les travailleurs de la Justice fustigent également le recours abusif au greffier ad hoc qui est une pure arnaque faite aux usagers du service public de la justice.
A leur en croire, par cet acte, le ministre de la Justice vient de démontrer son incapacité à gérer une crise. Ils lancent un appel au Premier ministre et au Président de la République pour trouver une solution à leurs revendications.