Lala Thiam et K. Ruth Marie, à peine sortis du seuil de l’adolescence, mènent une vie de débauche. Elles décomptent les appartements meublés de la capitale, découchent et se saoulent à leur convenance.
Ce libertinage leur a valu leur comparution devant le tribunal d’instance de Dakar. Elles sont poursuivies pour coups et blessures volontaires réciproques.
En effet, relate SourceA, repris par Senenews, sous l’emprise de l’alcool, les deux acolytes se sont bagarrés. Ce qui les a menés entre les mains de la justice. Le jour des faits, les mises en causes se sont retrouvés par pur hasard, dans un appartement meublé aux Almadies.
Pour des histoires d’hommes, les deux jeunes filles ne se supportent plus. Lala qui avait quitté Pikine avec une de ses amis ne se voyait pas quitter la fête. Pourtant elle ne pouvait pas voir son ex ami même en peinture. C’est là qu’elles se sont mises à se lancer des piques en pleine soirée. Ni une ni deux, Ruth Marie casse une bouteille en verre avant de le lui planter.
Sur les coups de 6 heures, des flics sont intervenus avant que les choses ne dégénèrent. Placées en garde à vue, elles ont fait face au juge du tribunal d’instance de Dakar, quelques jours après. Devant la barre, les prévenus n’ont pas passé par quatre chemins.
D’emblée, elles ont reconnu les faits qui leurs sont reprochés. Pour sa défense, Lala Thiam dira : « J’étais ivre tout comme elle. Nous étions des amies maintenant on se parlent plus. On s’est retrouvées dans un appartement meublé aux Almadies. Je suis venue avec une copine elle aussi pareille. On s’est mises à se lancer des piques. À un moment donné, elle m’a frappé avec une bouteille. Et j’ai riposté. »
Quant à sa cooprévenue, Khadidja Ruth Marie, « c’était un dimanche que des amis de son ex l’ont conviée à une soirée. Arrivée sur les lieux, j’ai retrouvé Lala et elle a commencé à me lancer des piques. Sous l’emprise de la colère énervée, j’ai cassé une bouteille et l’ai frappé avec », raconte-t-elle.
Le tribunal après en avoir délibéré a reconnu Lala Thiam et Ruth Marie coupables des chefs de coups et blessures volontaires. Elles ont échappé belle. Le juge ayant fait fi de leur âge les a condamnés à une peine d’avertissement. Trois mois assortis du sursis.
Ce libertinage leur a valu leur comparution devant le tribunal d’instance de Dakar. Elles sont poursuivies pour coups et blessures volontaires réciproques.
En effet, relate SourceA, repris par Senenews, sous l’emprise de l’alcool, les deux acolytes se sont bagarrés. Ce qui les a menés entre les mains de la justice. Le jour des faits, les mises en causes se sont retrouvés par pur hasard, dans un appartement meublé aux Almadies.
Pour des histoires d’hommes, les deux jeunes filles ne se supportent plus. Lala qui avait quitté Pikine avec une de ses amis ne se voyait pas quitter la fête. Pourtant elle ne pouvait pas voir son ex ami même en peinture. C’est là qu’elles se sont mises à se lancer des piques en pleine soirée. Ni une ni deux, Ruth Marie casse une bouteille en verre avant de le lui planter.
Sur les coups de 6 heures, des flics sont intervenus avant que les choses ne dégénèrent. Placées en garde à vue, elles ont fait face au juge du tribunal d’instance de Dakar, quelques jours après. Devant la barre, les prévenus n’ont pas passé par quatre chemins.
D’emblée, elles ont reconnu les faits qui leurs sont reprochés. Pour sa défense, Lala Thiam dira : « J’étais ivre tout comme elle. Nous étions des amies maintenant on se parlent plus. On s’est retrouvées dans un appartement meublé aux Almadies. Je suis venue avec une copine elle aussi pareille. On s’est mises à se lancer des piques. À un moment donné, elle m’a frappé avec une bouteille. Et j’ai riposté. »
Quant à sa cooprévenue, Khadidja Ruth Marie, « c’était un dimanche que des amis de son ex l’ont conviée à une soirée. Arrivée sur les lieux, j’ai retrouvé Lala et elle a commencé à me lancer des piques. Sous l’emprise de la colère énervée, j’ai cassé une bouteille et l’ai frappé avec », raconte-t-elle.
Le tribunal après en avoir délibéré a reconnu Lala Thiam et Ruth Marie coupables des chefs de coups et blessures volontaires. Elles ont échappé belle. Le juge ayant fait fi de leur âge les a condamnés à une peine d’avertissement. Trois mois assortis du sursis.