Mamour Cissé soutient que, sur le vécu quotidien, les populations souffrent de la crise. "J'ai comme l'impression que - ça ne se dit pas parce que les socialistes sont au pouvoir - nous sommes en train de vivre un programme d'ajustement structurel qui ne dit pas son nom. L'activité économique est au ralenti, parce que les populations, les commerçants et autres ne voient pas la relation qualitative et quantitative de tout cela", a dit le leader du Psd/Jant-Bi. A l'en croire, "l'électricité est le talon d'Achille". "La Senelec, avec un rare arrogance, vous coupe si vous tardez à payer votre facture de 24 heures ou de 48 heures alors qu'elle ne respecte pas ses obligations. La Senelec devrait avoir l'humilité et la communication en bandoulière. Ce n'est pas toujours le cas. C'est un problème extrêmement important", a-t-il dit.
M. Cissé a également plaidé pour l'entreprise économique qu'il estime être laissée en rade ainsi que la problématique de l'emploi des jeunes. "Tout ce qui est en train d'être fait au Sénégal, sur les grands travaux, est confié au capital étranger. Ça ne peut pas nous permettre de créer de la croissance dans ce pays. Et je pense que ce machin qu'on appelle Anpej n'est pas en mesure de donner le meilleur de lui-même. La Direction de l'emploi a toute sa raison d'être jusqu'à présent", indique-t-il dans les colonnes du journal.
M. Cissé a également plaidé pour l'entreprise économique qu'il estime être laissée en rade ainsi que la problématique de l'emploi des jeunes. "Tout ce qui est en train d'être fait au Sénégal, sur les grands travaux, est confié au capital étranger. Ça ne peut pas nous permettre de créer de la croissance dans ce pays. Et je pense que ce machin qu'on appelle Anpej n'est pas en mesure de donner le meilleur de lui-même. La Direction de l'emploi a toute sa raison d'être jusqu'à présent", indique-t-il dans les colonnes du journal.