Avec une fortune estimée plus à plus de 50 milliards FCfa, Seydou Kane est sans doute l’un des hommes les plus riches du Gabon et du Mali. Leader dans les domaines comme l’immobilier, l’agro-alimentaire et le pétrole, il est propriétaire d’un immeuble R+10, dont la valeur est estimée à 10 milliards FCfa.
Titulaire de trois nationalités (gabonaise, sénégalaise et malienne ) Seydou Kane est originaire du Mali, mais c’est au Gabon qu’il a fait fortune. Aussi puissant que discret, l’homme d’affaires fuit les médias.
Né au Mali, à Madina-Alahary, près de Nioro-du-Sahel (non loin de la frontière mauritanienne), Seydou Kane n’a pas oublié d’où il vient. Il y retourne d’ailleurs régulièrement, voyageant à bord de son avion privé, et il y est souvent accueilli par plusieurs centaines de personnes, fières de la réussite de l’enfant du pays.
C’est en 1985 qu’il émigre au Gabon. Il a alors 22 ans et veut tenter sa chance dans ce pays à l’économie florissante. Depuis, il en a acquis la nationalité. Il vit et travaille dans le 2e arrondissement de Libreville. Devenu une personnalité en vue, il lui arrive d’être attaqué sur un supposé « manque de patriotisme ». À ses détracteurs, il rétorque qu’il est devenu gabonais par « amour du pays » et non en raison « d’un quelconque opportunisme
Sitôt arrivé au Gabon, Kane se lance dans le commerce de détail, puis devient importateur touche-à -tout, avec une préférence pour l’électronique. Plus tard, il se diversifie dans le BTP et fonde le Consortium international des travaux publics (CITP). C’est son entreprise qui a construit le gymnase et l’internat du Prytanée militaire de Libreville, ainsi que le complexe sportif du FC 105 à Owendo, mais aussi les logements de la Garde républicaine dans le quartier Ondongo de la capitale, le lycée professionnel de Bikélé, le stade Augustin-Monedan de Sibang… La liste est longue.
Dans sa région natale, désertique et pauvre, Kane a construit un barrage qui permet aux paysans d’irriguer leurs cultures. Il a fait construire des écoles, un centre de santé communautaire et un réseau d’adduction d’eau. En 2015, il a créé une fondation pour aider les personnes vulnérables.
Avec Savoir Entreprise
Titulaire de trois nationalités (gabonaise, sénégalaise et malienne ) Seydou Kane est originaire du Mali, mais c’est au Gabon qu’il a fait fortune. Aussi puissant que discret, l’homme d’affaires fuit les médias.
Né au Mali, à Madina-Alahary, près de Nioro-du-Sahel (non loin de la frontière mauritanienne), Seydou Kane n’a pas oublié d’où il vient. Il y retourne d’ailleurs régulièrement, voyageant à bord de son avion privé, et il y est souvent accueilli par plusieurs centaines de personnes, fières de la réussite de l’enfant du pays.
C’est en 1985 qu’il émigre au Gabon. Il a alors 22 ans et veut tenter sa chance dans ce pays à l’économie florissante. Depuis, il en a acquis la nationalité. Il vit et travaille dans le 2e arrondissement de Libreville. Devenu une personnalité en vue, il lui arrive d’être attaqué sur un supposé « manque de patriotisme ». À ses détracteurs, il rétorque qu’il est devenu gabonais par « amour du pays » et non en raison « d’un quelconque opportunisme
Sitôt arrivé au Gabon, Kane se lance dans le commerce de détail, puis devient importateur touche-à -tout, avec une préférence pour l’électronique. Plus tard, il se diversifie dans le BTP et fonde le Consortium international des travaux publics (CITP). C’est son entreprise qui a construit le gymnase et l’internat du Prytanée militaire de Libreville, ainsi que le complexe sportif du FC 105 à Owendo, mais aussi les logements de la Garde républicaine dans le quartier Ondongo de la capitale, le lycée professionnel de Bikélé, le stade Augustin-Monedan de Sibang… La liste est longue.
Dans sa région natale, désertique et pauvre, Kane a construit un barrage qui permet aux paysans d’irriguer leurs cultures. Il a fait construire des écoles, un centre de santé communautaire et un réseau d’adduction d’eau. En 2015, il a créé une fondation pour aider les personnes vulnérables.
Avec Savoir Entreprise