"La SENELEC a fait des efforts assez conséquents, ces efforts sont avant tout des efforts de gestion et de rationalisation (…)’’, a souligné M. Sall, lors de l’examen du budget de son département, par l’Assemblée nationale, réunie en séance plénière.
Il estime que la société aurait pu avoir ‘’les ressources nécessaires pour produire de l’électricité en quantité, en qualité et à des prix compétitifs, si tous ceux qui ont souscrit une police avec elles (SENELEC) avaient honoré leur contrat’’.
Thierno Alassane Sall a rappelé que les factures de l’éclairage public restées impayées sont estimées à 31 milliards FCfa, au 30 septembre 2015, alors même que la dette avait été effacée en 2012.
Il a déclaré que des mécanismes pour compenser ces dettes sont envisageables, appelant toutefois les communes, tout comme les hôpitaux et les écoles, à remplir leur part du contrat signé avec la SENELEC.
Dans le but de soulager les mairies et d’offrir une meilleure couverture de l’éclairage public, a-t-il indiqué, l’énergie solaire est envisagée, non sans préciser les nombreux défis qui s’y rattachent, notamment ‘’la maintenance’’.
‘’Nous disposons de beaucoup de soleil, mais la technologie pour l’exploiter est constamment en évolution. Il nous faudra régulièrement modifier ou changer le type qu’on est en train de faire, c’est un domaine très compétitif’’, a-t-il expliqué. Il ajouté que son ministère va travailler avec les mairies pour pérenniser l’éclairage public par voie solaire.
Thierno Alassane Sall a, en outre, annoncé 200 mégawatts (MW) supplémentaires en octobre 2016 pour l’alimentation des villes et de tous ceux qui sont connectés au réseau électrique, et l’extension vers les localités rurales.
‘’En janvier, la centrale de Tobène, d’une capacité de 70 mégawatts, va être lancée, auxquels vont s’ajouter les 50 mégawatts de la centrale qui se trouve au Cap de Biches. Il y aura aussi 80 mégawatts que nous obtiendrons du côté de la Mauritanie’’, a-t-il fait savoir.
Le budget 2016 du ministère de l’Énergie et du Développement des énergies renouvelables s’élève à 85 370 572 700 FCfa, contre 99 645 989 060 FCfa en 2015, soit une baisse de 14 275 416 360 FCfa en valeur absolue et 14,33% en valeur relative.
APS
Il estime que la société aurait pu avoir ‘’les ressources nécessaires pour produire de l’électricité en quantité, en qualité et à des prix compétitifs, si tous ceux qui ont souscrit une police avec elles (SENELEC) avaient honoré leur contrat’’.
Thierno Alassane Sall a rappelé que les factures de l’éclairage public restées impayées sont estimées à 31 milliards FCfa, au 30 septembre 2015, alors même que la dette avait été effacée en 2012.
Il a déclaré que des mécanismes pour compenser ces dettes sont envisageables, appelant toutefois les communes, tout comme les hôpitaux et les écoles, à remplir leur part du contrat signé avec la SENELEC.
Dans le but de soulager les mairies et d’offrir une meilleure couverture de l’éclairage public, a-t-il indiqué, l’énergie solaire est envisagée, non sans préciser les nombreux défis qui s’y rattachent, notamment ‘’la maintenance’’.
‘’Nous disposons de beaucoup de soleil, mais la technologie pour l’exploiter est constamment en évolution. Il nous faudra régulièrement modifier ou changer le type qu’on est en train de faire, c’est un domaine très compétitif’’, a-t-il expliqué. Il ajouté que son ministère va travailler avec les mairies pour pérenniser l’éclairage public par voie solaire.
Thierno Alassane Sall a, en outre, annoncé 200 mégawatts (MW) supplémentaires en octobre 2016 pour l’alimentation des villes et de tous ceux qui sont connectés au réseau électrique, et l’extension vers les localités rurales.
‘’En janvier, la centrale de Tobène, d’une capacité de 70 mégawatts, va être lancée, auxquels vont s’ajouter les 50 mégawatts de la centrale qui se trouve au Cap de Biches. Il y aura aussi 80 mégawatts que nous obtiendrons du côté de la Mauritanie’’, a-t-il fait savoir.
Le budget 2016 du ministère de l’Énergie et du Développement des énergies renouvelables s’élève à 85 370 572 700 FCfa, contre 99 645 989 060 FCfa en 2015, soit une baisse de 14 275 416 360 FCfa en valeur absolue et 14,33% en valeur relative.
APS