Selon le note d’information reçue, le ministre a particulièrement salué le choix du stade Me Abdoulaye Wade pour abriter l'événement, un lieu symbolique où, selon lui, se manifestent « l’esprit collectif » et « l’esprit d’équipe ». Des valeurs qu'il juge parfaitement alignées avec la vision du ministère (MITTA), qui privilégie une approche collaborative pour trouver des « solutions novatrices et durables » aux nombreux défis auxquels le secteur fait face.
Des défis structurels et économiques majeurs
Au cours de son allocution, Malick Ndiaye a dressé un état des lieux sans concession du secteur des transports. Parmi les problèmes soulevés figurent l'organisation déficiente, une gouvernance vacillante, un manque de financement, la faible densité du réseau routier, une insécurité routière croissante, ainsi que des carences en personnel qualifié et en digitalisation.
Ces difficultés, selon le ministre, ont des répercussions économiques significatives. Une étude de 2022 estime que l'économie sénégalaise perd environ 900 milliards de francs CFA chaque année, soit près de 6 % du PIB, en raison des dysfonctionnements liés aux externalités négatives des transports routiers.
Un appel à la mobilisation générale contre les accidents de la route
L’une des préoccupations majeures du ministre reste la recrudescence des accidents de la route, qu'il n'hésite pas à qualifier de « carnage ». « Personne n'est épargné », a-t-il déclaré, avant de lancer un appel solennel à l'ensemble des acteurs impliqués dans le secteur : l'Agence des travaux et de gestion des routes (AGEROUTE), les forces de défense et de sécurité, les services responsables de la délivrance des permis de conduire et des cartes grises, ainsi que tous les automobilistes, qu'ils soient usagers privés ou professionnels. Pour lui, seule une action concertée permettra de mettre un terme à ce drame qui coûte chaque année la vie à un nombre important de citoyens.
« Chacun, à son niveau, doit faire des efforts maximaux pour que nous mettions fin à ce carnage -un mot encore trop faible- qui coûte la vie à tant de nos concitoyens, je dirais même à nos familles, sur les routes », a-t-il insisté.
Vers un système de transport inclusif et durable
Malgré ce constat alarmant, le ministre a conclu son discours sur une note d'espoir, exhortant les différents acteurs à œuvrer ensemble pour bâtir un système de transport plus efficace, inclusif et respectueux de l'environnement, au bénéfice de tous les citoyens.
Des défis structurels et économiques majeurs
Au cours de son allocution, Malick Ndiaye a dressé un état des lieux sans concession du secteur des transports. Parmi les problèmes soulevés figurent l'organisation déficiente, une gouvernance vacillante, un manque de financement, la faible densité du réseau routier, une insécurité routière croissante, ainsi que des carences en personnel qualifié et en digitalisation.
Ces difficultés, selon le ministre, ont des répercussions économiques significatives. Une étude de 2022 estime que l'économie sénégalaise perd environ 900 milliards de francs CFA chaque année, soit près de 6 % du PIB, en raison des dysfonctionnements liés aux externalités négatives des transports routiers.
Un appel à la mobilisation générale contre les accidents de la route
L’une des préoccupations majeures du ministre reste la recrudescence des accidents de la route, qu'il n'hésite pas à qualifier de « carnage ». « Personne n'est épargné », a-t-il déclaré, avant de lancer un appel solennel à l'ensemble des acteurs impliqués dans le secteur : l'Agence des travaux et de gestion des routes (AGEROUTE), les forces de défense et de sécurité, les services responsables de la délivrance des permis de conduire et des cartes grises, ainsi que tous les automobilistes, qu'ils soient usagers privés ou professionnels. Pour lui, seule une action concertée permettra de mettre un terme à ce drame qui coûte chaque année la vie à un nombre important de citoyens.
« Chacun, à son niveau, doit faire des efforts maximaux pour que nous mettions fin à ce carnage -un mot encore trop faible- qui coûte la vie à tant de nos concitoyens, je dirais même à nos familles, sur les routes », a-t-il insisté.
Vers un système de transport inclusif et durable
Malgré ce constat alarmant, le ministre a conclu son discours sur une note d'espoir, exhortant les différents acteurs à œuvrer ensemble pour bâtir un système de transport plus efficace, inclusif et respectueux de l'environnement, au bénéfice de tous les citoyens.