Ainsi, 126 villages, déjà confrontés aux problèmes d’électricité, de manque d’eau potable, de pistes de production, font face aussi à des problèmes de ravitaillement en denrées alimentaires, d’écoulement de produits, d’évacuation de malades.
Plusieurs manifestations ont été organisées pour la réhabilitation du barrage de Diopcounda, communément appelée barrage Aliou Souané, en délabrement très avancé.
Mais ces revendications sont tombées dans l’oreille d’un sourd. Ce dimanche, des dizaines d’années d’appels d’alerte, cris de détresse ont laissé place à une situation délicate, avec coupure totale d’une partie de la route près du barrage consumé par le temps.
Aujourd’hui, les populations locales sont dans une incertitude totale. Depuis quelque temps, aucun camion ou véhicule de transport ne peut traverser le pont, car les populations locales, qui n’étaient pas sûres de l’état de l’ouvrage, et du fait des forts ruissellements, les avaient bloqués par mesure de précaution.
La seule déviation qui se trouve au niveau du village de Moyafara ne peut pas permettre aux denrées alimentaires de passer et est également menacée par les eaux pluviales. Les populations sont convaincues que si l’Etat ne réagit pas, le pire risque de se produire.
Plusieurs manifestations ont été organisées pour la réhabilitation du barrage de Diopcounda, communément appelée barrage Aliou Souané, en délabrement très avancé.
Mais ces revendications sont tombées dans l’oreille d’un sourd. Ce dimanche, des dizaines d’années d’appels d’alerte, cris de détresse ont laissé place à une situation délicate, avec coupure totale d’une partie de la route près du barrage consumé par le temps.
Aujourd’hui, les populations locales sont dans une incertitude totale. Depuis quelque temps, aucun camion ou véhicule de transport ne peut traverser le pont, car les populations locales, qui n’étaient pas sûres de l’état de l’ouvrage, et du fait des forts ruissellements, les avaient bloqués par mesure de précaution.
La seule déviation qui se trouve au niveau du village de Moyafara ne peut pas permettre aux denrées alimentaires de passer et est également menacée par les eaux pluviales. Les populations sont convaincues que si l’Etat ne réagit pas, le pire risque de se produire.