Le conflit armé a un coût humain incroyable : le département de Goudomp fait partie des zones les plus impactées par le conflit armé de la Casamance, avec le déplacement de plusieurs villages dans cette localité frontalière à la Guinée-Bissau. Aujourd’hui, ce n’est qu’un mauvais souvenir.
Après les opérations de sécurisation de l’Armée l’année dernière qui ont abouti à une accalmie, l’Etat a donné des instructions à l’Agence nationale pour la relance des activités économiques et sociales en Casamance (Anrac), d’encadrer et d’accompagner toutes les populations désireuses de rentrer. Cette instruction additionnée à la mission de réinsertion sociale et économique des populations déplacées de l’Anrac, sont à l’origine de la mise en place d’un processus de retour des villages.
«Et aujourd’hui donc, à l’issue des débats, nous sommes heureux de constater que beaucoup d’efforts ont été consentis, beaucoup d’actions ont été menées, beaucoup d’actes ont été posés, mais également beaucoup de villages, conformément à leur promesse, ont été reconstitués sur place. Les services techniques de l’Etat, les Ong les ont accompagnés à travers un dispositif d’assistance nécessaire», expose le directeur de l’Anrac.
Cette structure a investi plusieurs autres actions dans le Balantacounda depuis 2018, notamment la lutte contre le vol de bétail à travers le financement du long processus qui a permis de juguler ce phénomène dans le Goudomp, d’activités génératrices de revenus au profit des populations déplacées, la distribution de moustiquaires, d’engrais, la réalisation de puits maraîchers et plus de deux mille zincs ont été distribués, pour permettre aux populations de disposer de toits.
«Il faut dire que nous sommes dans le processus aussi bien dans le volet coordination que dans le volet réinsertion sociale et économique. Et je pense que ce que nous avons entendu aujourd’hui, nous rassure et nous met dans un élan qu’il faut davantage accompagner ces populations afin qu’elles puissent retrouver leur cadre de vie», note Ansou Sané. Ce retour des populations sur leurs terroirs devrait être plus facile si certaines structures publiques comme le Pudc, le Puma et d’autres Ong, investissent davantage dans le Balantacounda.
«Le Puma a rejoint le processus, en offrant des moulins aux populations de retour. Aujourd’hui, nous avons sollicité le Pudc et tous les projets et programmes de l’Etat qui interviennent, seront sollicités. Certains aspects aussi sont concernés par la sécurisation, parce que le retour se fera dans un endroit sécurisé. Et les Forces de défense et de sécurité sont en train de prendre les dispositions nécessaires pour renforcer la sécurité», explique le Directeur général de l’Anrac.
Après les opérations de sécurisation de l’Armée l’année dernière qui ont abouti à une accalmie, l’Etat a donné des instructions à l’Agence nationale pour la relance des activités économiques et sociales en Casamance (Anrac), d’encadrer et d’accompagner toutes les populations désireuses de rentrer. Cette instruction additionnée à la mission de réinsertion sociale et économique des populations déplacées de l’Anrac, sont à l’origine de la mise en place d’un processus de retour des villages.
«Et aujourd’hui donc, à l’issue des débats, nous sommes heureux de constater que beaucoup d’efforts ont été consentis, beaucoup d’actions ont été menées, beaucoup d’actes ont été posés, mais également beaucoup de villages, conformément à leur promesse, ont été reconstitués sur place. Les services techniques de l’Etat, les Ong les ont accompagnés à travers un dispositif d’assistance nécessaire», expose le directeur de l’Anrac.
Cette structure a investi plusieurs autres actions dans le Balantacounda depuis 2018, notamment la lutte contre le vol de bétail à travers le financement du long processus qui a permis de juguler ce phénomène dans le Goudomp, d’activités génératrices de revenus au profit des populations déplacées, la distribution de moustiquaires, d’engrais, la réalisation de puits maraîchers et plus de deux mille zincs ont été distribués, pour permettre aux populations de disposer de toits.
«Il faut dire que nous sommes dans le processus aussi bien dans le volet coordination que dans le volet réinsertion sociale et économique. Et je pense que ce que nous avons entendu aujourd’hui, nous rassure et nous met dans un élan qu’il faut davantage accompagner ces populations afin qu’elles puissent retrouver leur cadre de vie», note Ansou Sané. Ce retour des populations sur leurs terroirs devrait être plus facile si certaines structures publiques comme le Pudc, le Puma et d’autres Ong, investissent davantage dans le Balantacounda.
«Le Puma a rejoint le processus, en offrant des moulins aux populations de retour. Aujourd’hui, nous avons sollicité le Pudc et tous les projets et programmes de l’Etat qui interviennent, seront sollicités. Certains aspects aussi sont concernés par la sécurisation, parce que le retour se fera dans un endroit sécurisé. Et les Forces de défense et de sécurité sont en train de prendre les dispositions nécessaires pour renforcer la sécurité», explique le Directeur général de l’Anrac.