Selon l’APS, Les sections Sames et Sutsas veulent à travers ce mouvement d’humeur, ”porter à l’attention de l’opinion publique les conditions de travail indescriptibles” au SAMU, a expliqué le Secrétaire général de la section Sames, lors d’un point de presse.
Les travailleurs comptent observer un arrêt de travail de 48 heures, avec le ”respect des urgences primaires”, a déclaré Mohamed Traoré, médecin urgentiste au Samu national.
Selon M. Traoré, une plateforme revendicative assortie d’un préavis de grève a été déposée depuis le 26 février 2024, sur la table du directeur du Samu et du ministère de la Santé et de l’Action sociale.
L’agence ajoute que ces travailleurs réclament le paiement intégral des primes de la Covid-19 et la généralisation de primes appelées Nepad, pour l’ensemble des contractuels, a t-il indiqué.
A cela, s’ajoutent le paiement des arriérés des indemnités de représentation médicale et paramédicale, l’utilisation du budget alloué à la formation diplômante, le remplacement de l’IMP, pour permettre aux agents de se soigner, de payer leurs frais de déplacement, entre autres.
Les syndicats qui ont invité les autorités à ”une négociation, pour un protocole d’accord dans les meilleurs délais”, ont fait part de leur ”détermination à aller jusqu’au bout”, en usant de tous les moyens légaux de lutte, nous informe l’"APS".
Les travailleurs comptent observer un arrêt de travail de 48 heures, avec le ”respect des urgences primaires”, a déclaré Mohamed Traoré, médecin urgentiste au Samu national.
Selon M. Traoré, une plateforme revendicative assortie d’un préavis de grève a été déposée depuis le 26 février 2024, sur la table du directeur du Samu et du ministère de la Santé et de l’Action sociale.
L’agence ajoute que ces travailleurs réclament le paiement intégral des primes de la Covid-19 et la généralisation de primes appelées Nepad, pour l’ensemble des contractuels, a t-il indiqué.
A cela, s’ajoutent le paiement des arriérés des indemnités de représentation médicale et paramédicale, l’utilisation du budget alloué à la formation diplômante, le remplacement de l’IMP, pour permettre aux agents de se soigner, de payer leurs frais de déplacement, entre autres.
Les syndicats qui ont invité les autorités à ”une négociation, pour un protocole d’accord dans les meilleurs délais”, ont fait part de leur ”détermination à aller jusqu’au bout”, en usant de tous les moyens légaux de lutte, nous informe l’"APS".