Macky Sall
va faire face à un départ massif de ses militants dont certains menés par un ministre « balèze » du gouvernement, vers les prairies de Pastef où ils sentent l’herbe pousser abondamment. Ce ministre n’est pas n’importe lequel. Il est constamment au gouvernement depuis 2012. Ce ministre est en train de s’attacher les faveurs de plusieurs journalistes. Des enveloppes bien garnies sont distribuées dans les rédactions et dans plusieurs bases politiques.
Selon plusieurs sources, ce ministre voudrait se présenter lui-même à la présidentielle. A défaut, il négociera son entrisme avec les vainqueurs de demain, pour prolonger son règne de ministre « éternel ». Le ministre a une bonne base politique et est imbattable dans son fief depuis son entrée en politique. C’est ce qu’il veut monnayer en allant rejoindre l’opposition, notamment Pastef. Ce ministre est au centre de plusieurs affaires rocambolesque et a fait beaucoup de ministères…Macky Sall vit assurément des moments difficiles. Certains de ses proches n’attendent qu’il ne se prononce s’il se présentera oui ou non, à la présidentielle de 2024. Dans l’un comme dans l’autre cas, il risque de faire face à de nombreuses défections dans son camp. Ce n’est pas seulement ce ministre qui se prépare à quitter le camp présidentiel avec fracas. C’est dire que Macky Sall a bien raison de garder pour le moment, le silence sur cette question.
Un silence qui retient encore dans son camp, certains de ses proches qui se préparent à le quitter. Pour eux, que Macky Sall participe ou pas à la présidentielle, c’est l’opposition qui gagnera en 2024. C’est pourquoi, ils font les yeux doux à Ousmane Sonko. Ils veulent conserver leurs privilèges actuels et ne veulent être traduits en justice par la tête de file de Pastef qui promet des sanctions à l’encontre des dignitaires du régime de Macky Sall, s’il prend le pouvoir.Des menaces prises au sérieux par eux. D’autant qu’Ousmane Sonko traîne la réputation d’être quelqu’un de rancunier. Pour se mettre à l’abri donc, ces dignitaires du régime du Président Macky Sall préfèrent trouver refuge auprès du maire de Ziguinchor. Comme s’apprête à le faire le ministre en question qui pourtant dans un passé récent, avait juré fidélité et loyauté au Président de la République Macky Sall.Macky Sall vit des moments malheureux comme l’avaient vécu dans le passé, Abdou Diouf et Abdoulaye Wade, ses prédécesseurs. C’est connu, les rats sont les premiers à quitter le navire s’il commence à chavirer. Et les « rats » qui entourent Macky Sall pressentent déjà que ce dernier vit ces derniers mois à la tête de l’Etat du Sénégal. Pour eux donc, mieux vaut le quitter pendant qu’il est encore temps.
Le grand bénéficiaire de cette situation va être Ousmane Sonko. Son parti va être le réceptacle de tous ceux qui vont quitter Macky Sall. D’autant que ceux-ci sont convaincus que le maire de Ziguinchor va être le prochain Président de la République du Sénégal. Ils préfèrent lui faire allégeance dès maintenant pour ne pas être accusés d’opportunistes, s’ils rejoignent le camp de Sonko seulement après la victoire de ce dernier à l’élection présidentielle.
va faire face à un départ massif de ses militants dont certains menés par un ministre « balèze » du gouvernement, vers les prairies de Pastef où ils sentent l’herbe pousser abondamment. Ce ministre n’est pas n’importe lequel. Il est constamment au gouvernement depuis 2012. Ce ministre est en train de s’attacher les faveurs de plusieurs journalistes. Des enveloppes bien garnies sont distribuées dans les rédactions et dans plusieurs bases politiques.
Selon plusieurs sources, ce ministre voudrait se présenter lui-même à la présidentielle. A défaut, il négociera son entrisme avec les vainqueurs de demain, pour prolonger son règne de ministre « éternel ». Le ministre a une bonne base politique et est imbattable dans son fief depuis son entrée en politique. C’est ce qu’il veut monnayer en allant rejoindre l’opposition, notamment Pastef. Ce ministre est au centre de plusieurs affaires rocambolesque et a fait beaucoup de ministères…Macky Sall vit assurément des moments difficiles. Certains de ses proches n’attendent qu’il ne se prononce s’il se présentera oui ou non, à la présidentielle de 2024. Dans l’un comme dans l’autre cas, il risque de faire face à de nombreuses défections dans son camp. Ce n’est pas seulement ce ministre qui se prépare à quitter le camp présidentiel avec fracas. C’est dire que Macky Sall a bien raison de garder pour le moment, le silence sur cette question.
Un silence qui retient encore dans son camp, certains de ses proches qui se préparent à le quitter. Pour eux, que Macky Sall participe ou pas à la présidentielle, c’est l’opposition qui gagnera en 2024. C’est pourquoi, ils font les yeux doux à Ousmane Sonko. Ils veulent conserver leurs privilèges actuels et ne veulent être traduits en justice par la tête de file de Pastef qui promet des sanctions à l’encontre des dignitaires du régime de Macky Sall, s’il prend le pouvoir.Des menaces prises au sérieux par eux. D’autant qu’Ousmane Sonko traîne la réputation d’être quelqu’un de rancunier. Pour se mettre à l’abri donc, ces dignitaires du régime du Président Macky Sall préfèrent trouver refuge auprès du maire de Ziguinchor. Comme s’apprête à le faire le ministre en question qui pourtant dans un passé récent, avait juré fidélité et loyauté au Président de la République Macky Sall.Macky Sall vit des moments malheureux comme l’avaient vécu dans le passé, Abdou Diouf et Abdoulaye Wade, ses prédécesseurs. C’est connu, les rats sont les premiers à quitter le navire s’il commence à chavirer. Et les « rats » qui entourent Macky Sall pressentent déjà que ce dernier vit ces derniers mois à la tête de l’Etat du Sénégal. Pour eux donc, mieux vaut le quitter pendant qu’il est encore temps.
Le grand bénéficiaire de cette situation va être Ousmane Sonko. Son parti va être le réceptacle de tous ceux qui vont quitter Macky Sall. D’autant que ceux-ci sont convaincus que le maire de Ziguinchor va être le prochain Président de la République du Sénégal. Ils préfèrent lui faire allégeance dès maintenant pour ne pas être accusés d’opportunistes, s’ils rejoignent le camp de Sonko seulement après la victoire de ce dernier à l’élection présidentielle.