Le Tribunal de Louga a jugé hier mardi, les sept personnes impliquées dans l'affaire dite du "Sabar" des enfants. Elles ont toutes été reconnues coupables et condamnées à différentes peines. Le journal "L’Observateur" repris par "DakarActu", rappelle que le dossier portait sur des vidéos montrant une danse obscène (sabar) de fillettes de Louga.
Les chefs d'inculpation étaient la diffusion d'images contraires aux bonnes mœurs, la collecte illicite de données à caractère personnel et l'atteinte à la vie privée. Le TikTokeur Kasima Fofana, accusé d'avoir filmé et diffusé ces vidéos compromettantes, a été le plus inquiété. Il a été condamné à une peine d'un mois de prison.
Selon le journal "L’Observateur", les autres prévenus, Ndiogou Samb le percussionniste, Talla Samb le préposé au micro central, Wathite Samb, Diaba Diaw, Dierry Sow et Ndèye Khoudia Kama, ont tous plaidé coupables. Ils ont expliqué devant le tribunal, qu'ils organisaient souvent ce type de manifestations, mais que c'était la première fois que les fillettes y étaient habillées de manière aussi indécente.
Le parquet a requis des peines fermes, jugeant que ces images pourraient avoir un impact négatif durable sur l'avenir de ces jeunes filles. La défense a plaidé la clémence. Finalement, le Tribunal a condamné le diffuseur des vidéos à un mois de prison et les autres prévenus, à des peines plus légères. En effet, le Tribunal a condamné le diffuseur des vidéos à une peine de deux ans, dont un mois ferme et une peine de 6 mois assortis de sursis pour le reste de la bande.
Les chefs d'inculpation étaient la diffusion d'images contraires aux bonnes mœurs, la collecte illicite de données à caractère personnel et l'atteinte à la vie privée. Le TikTokeur Kasima Fofana, accusé d'avoir filmé et diffusé ces vidéos compromettantes, a été le plus inquiété. Il a été condamné à une peine d'un mois de prison.
Selon le journal "L’Observateur", les autres prévenus, Ndiogou Samb le percussionniste, Talla Samb le préposé au micro central, Wathite Samb, Diaba Diaw, Dierry Sow et Ndèye Khoudia Kama, ont tous plaidé coupables. Ils ont expliqué devant le tribunal, qu'ils organisaient souvent ce type de manifestations, mais que c'était la première fois que les fillettes y étaient habillées de manière aussi indécente.
Le parquet a requis des peines fermes, jugeant que ces images pourraient avoir un impact négatif durable sur l'avenir de ces jeunes filles. La défense a plaidé la clémence. Finalement, le Tribunal a condamné le diffuseur des vidéos à un mois de prison et les autres prévenus, à des peines plus légères. En effet, le Tribunal a condamné le diffuseur des vidéos à une peine de deux ans, dont un mois ferme et une peine de 6 mois assortis de sursis pour le reste de la bande.