Comme pour riposter aux attaques du Grand Parti, les progressistes de Dakar ont organisé, avant-hier, une rencontre aux allures d’un meeting, au Théâtre national Daniel Sorano. A les en croire, l’Afp est plus que jamais dans le jeu politique et personne ne peut la faire reculer. « Nous allons toujours vers l’avant », dira un responsable de Rufisque. « L’Afp est un parti de masse, elle est plus forte. Nous donnons notre réponse sur le terrain, car la politique, c’est le terrain », a, pour sa part, souligné Dr Malick Diop du département de Dakar qui révèle qu’aucun responsable de leur localité n’a quitté le parti, avant de prédire une victoire éclatante de Macky Sall en 2017.
« Cette rencontre montre que l’Afp reste l’une des principales forces politiques du Sénégal. La mobilisation exceptionnelle a montré que l’Afp, par ses choix politiques, continue à bénéficier de la grande adhésion des Sénégalais », se contentera de dire Alioune Sarr, parton des cadres progressistes.
Venu conduire la délégation du bureau politique, Bouna Mouhamed Seck n’a pas manqué de lancer des piques aux détracteurs des progressistes. « Personne ne peut tuer l’Afp. L’agression dont a été victime l’Afp à partir de mars 2010 a totalement échoué, malgré le soutien dont les ex-camarades ont bénéficié de la part de certains lobbies, certaines puissances d’argent », dit-il. Interpellé sur les attaques contre son leader, accusé d’avoir pris parti en donnant le Groupe parlementaire des « Libéraux et Démocrates » à Modou Diagne Fada, Bouna Mouhamed Seck a tenu à préciser que « Moustapha Niasse n’a pas pris position pour une des parties qui se disputaient le Groupe parlementaire de l’opposition. La démarche n’est pas recevable, parce qu’elle ne repose pas sur le Règlement intérieur de l’Assemblée nationale. Donc, on fait une mauvaise querelle à Moustapha Niasse ».
« Cette rencontre montre que l’Afp reste l’une des principales forces politiques du Sénégal. La mobilisation exceptionnelle a montré que l’Afp, par ses choix politiques, continue à bénéficier de la grande adhésion des Sénégalais », se contentera de dire Alioune Sarr, parton des cadres progressistes.
Venu conduire la délégation du bureau politique, Bouna Mouhamed Seck n’a pas manqué de lancer des piques aux détracteurs des progressistes. « Personne ne peut tuer l’Afp. L’agression dont a été victime l’Afp à partir de mars 2010 a totalement échoué, malgré le soutien dont les ex-camarades ont bénéficié de la part de certains lobbies, certaines puissances d’argent », dit-il. Interpellé sur les attaques contre son leader, accusé d’avoir pris parti en donnant le Groupe parlementaire des « Libéraux et Démocrates » à Modou Diagne Fada, Bouna Mouhamed Seck a tenu à préciser que « Moustapha Niasse n’a pas pris position pour une des parties qui se disputaient le Groupe parlementaire de l’opposition. La démarche n’est pas recevable, parce qu’elle ne repose pas sur le Règlement intérieur de l’Assemblée nationale. Donc, on fait une mauvaise querelle à Moustapha Niasse ».