« Ça fait très longtemps qu’on ne s’est pas vu », lui dit-il. « Oui, ça fait longtemps », répond Macoumba Sarr, qui transmet les salutations de « Malick Ndiaye ». « Donne ton numéro », demande le président guinéen avant de s’éclipser, laissant derrière lui beaucoup d’interrogations sur l’homme qui a capté son attention. Après vérification, il s’avère que les deux se sont rencontrés à la Légion étrangère de l’armée française.
Cette brève conversation est celle entre le Président de la République de Guinée, le Général de Corps d’Armée Mamadi Doumbouya, et son vieil ami Sarr, ancien légionnaire comme lui, lors d’une rencontre fortuite à Dakar, à l’occasion de l’investiture du Président Bassirou Diomaye Faye. Les deux hommes se retrouvent après tant d’années de séparation, l’un présidant aux destinées d’un pays, l’autre au destin moins clément, confronté aux vicissitudes de la vie et se déplaçant en chaise roulante.
Le Général Mamadi Doumbouya, affligé par un tel spectacle et par l’injustice de la vie, prend immédiatement les coordonnées dakaroises de son vieil ami et donne des instructions à son protocole pour que, dans la foulée de l’investiture du nouveau président sénégalais, Sarr soit conduit à Conakry.
Les deux hommes ont tant de choses à se dire, de nombreux souvenirs à évoquer, surtout en accord avec le code d’honneur du légionnaire qui stipule en son article 2 : «Chaque légionnaire est ton frère d’armes, quelle que soit sa nationalité, sa race, sa religion. Tu lui manifesteras toujours la solidarité étroite qui doit unir les membres d’une même famille.»
Connu, depuis qu’il est à la tête de l’État guinéen, pour son humanisme dont il ne fait point l’économie en faveur de ses semblables, le Général Mamadi Doumbouya manifeste les mêmes sentiments envers son compagnon d’armes. Normal pour un homme d’État dont la générosité, chevillée au corps, est congénitale.
Le Général Mamadi Doumbouya et l’auréole de la vertu sont indissociables. Lors d’une visite organisée par le Chef de l’État à Conakry, Sarr et son ami ont prié ensemble pour l’Eid al-Fitr au palais Mohammed V, et auront certainement beaucoup d’autres choses à partager, y compris des projets d’avenir que leurs relations immarcescibles ne manqueront pas de favoriser.
Cette brève conversation est celle entre le Président de la République de Guinée, le Général de Corps d’Armée Mamadi Doumbouya, et son vieil ami Sarr, ancien légionnaire comme lui, lors d’une rencontre fortuite à Dakar, à l’occasion de l’investiture du Président Bassirou Diomaye Faye. Les deux hommes se retrouvent après tant d’années de séparation, l’un présidant aux destinées d’un pays, l’autre au destin moins clément, confronté aux vicissitudes de la vie et se déplaçant en chaise roulante.
Le Général Mamadi Doumbouya, affligé par un tel spectacle et par l’injustice de la vie, prend immédiatement les coordonnées dakaroises de son vieil ami et donne des instructions à son protocole pour que, dans la foulée de l’investiture du nouveau président sénégalais, Sarr soit conduit à Conakry.
Les deux hommes ont tant de choses à se dire, de nombreux souvenirs à évoquer, surtout en accord avec le code d’honneur du légionnaire qui stipule en son article 2 : «Chaque légionnaire est ton frère d’armes, quelle que soit sa nationalité, sa race, sa religion. Tu lui manifesteras toujours la solidarité étroite qui doit unir les membres d’une même famille.»
Connu, depuis qu’il est à la tête de l’État guinéen, pour son humanisme dont il ne fait point l’économie en faveur de ses semblables, le Général Mamadi Doumbouya manifeste les mêmes sentiments envers son compagnon d’armes. Normal pour un homme d’État dont la générosité, chevillée au corps, est congénitale.
Le Général Mamadi Doumbouya et l’auréole de la vertu sont indissociables. Lors d’une visite organisée par le Chef de l’État à Conakry, Sarr et son ami ont prié ensemble pour l’Eid al-Fitr au palais Mohammed V, et auront certainement beaucoup d’autres choses à partager, y compris des projets d’avenir que leurs relations immarcescibles ne manqueront pas de favoriser.