Des conditions d'hébergement inadaptées
Après avoir traversé des épreuves en Algérie et dans les camps d'Assamaka, d'Arlit et d'Agadez, ces migrants ont été logés dans un site inapproprié à Dakar, ne répondant pas aux standards de décence et de respect des droits humains. ADHA déplore également l'absence totale d'une assistance psychologique et médicale, pourtant indispensable pour ces personnes ayant vécu de profondes souffrances et traumatismes.
Une gestion désorganisée du retour
L’ONG critique l'improvisation qui a marqué l'accueil de ces rapatriés, remarquant notamment l'organisation d'un rendez-vous le lendemain de leur arrivée, dans le même cadre inadapté. Cette approche témoigne, selon l'organisation, d'un manque de préparation alarmant, en contradiction avec les obligations humanitaires et les engagements du Sénégal en matière de droits fondamentaux.
Une urgence humanitaire persistante
Alors que ces 33 Sénégalais ont pu regagner leur pays, 48 autres restent bloqués au Niger, principalement dans les camps d'Assamaka et d'Arlit, où les conditions restent extrêmement préoccupantes. ADHA insiste sur la nécessité d'un rapatriement rapide et sécurisé, accompagné d'un dispositif d'accueil conforme aux normes internationales .
Des recommandations pour une gestion plus humaine
Face à cette situation, ADHA appelle l'État sénégalais et ses partenaires à :
1. Améliorer immédiatement les conditions d'accueil des rapatriés, en leur garantissant un hébergement digne.
2. Mettre en place une assistance médicale, psychologique et alimentaire, adaptée aux besoins des migrants vulnérables.
3. Adopter une stratégie durable, respectueuse de la dignité humaine, pour éviter la récurrence de telles situations.
4. Accélérer le rapatriement des 48 Sénégalais restants, avec un dispositif garantissant leur dignité et leur sécurité.
L’ONG rappelle que ces migrants, ayant enduré des souffrances incommensurables, doivent être accueillis avec respect, solidarité et humanité. L'organisation réaffirme son engagement indéfectible en faveur de la défense des droits humains et exhorte les autorités à agir avec responsabilité et diligence.
Après avoir traversé des épreuves en Algérie et dans les camps d'Assamaka, d'Arlit et d'Agadez, ces migrants ont été logés dans un site inapproprié à Dakar, ne répondant pas aux standards de décence et de respect des droits humains. ADHA déplore également l'absence totale d'une assistance psychologique et médicale, pourtant indispensable pour ces personnes ayant vécu de profondes souffrances et traumatismes.
Une gestion désorganisée du retour
L’ONG critique l'improvisation qui a marqué l'accueil de ces rapatriés, remarquant notamment l'organisation d'un rendez-vous le lendemain de leur arrivée, dans le même cadre inadapté. Cette approche témoigne, selon l'organisation, d'un manque de préparation alarmant, en contradiction avec les obligations humanitaires et les engagements du Sénégal en matière de droits fondamentaux.
Une urgence humanitaire persistante
Alors que ces 33 Sénégalais ont pu regagner leur pays, 48 autres restent bloqués au Niger, principalement dans les camps d'Assamaka et d'Arlit, où les conditions restent extrêmement préoccupantes. ADHA insiste sur la nécessité d'un rapatriement rapide et sécurisé, accompagné d'un dispositif d'accueil conforme aux normes internationales .
Des recommandations pour une gestion plus humaine
Face à cette situation, ADHA appelle l'État sénégalais et ses partenaires à :
1. Améliorer immédiatement les conditions d'accueil des rapatriés, en leur garantissant un hébergement digne.
2. Mettre en place une assistance médicale, psychologique et alimentaire, adaptée aux besoins des migrants vulnérables.
3. Adopter une stratégie durable, respectueuse de la dignité humaine, pour éviter la récurrence de telles situations.
4. Accélérer le rapatriement des 48 Sénégalais restants, avec un dispositif garantissant leur dignité et leur sécurité.
L’ONG rappelle que ces migrants, ayant enduré des souffrances incommensurables, doivent être accueillis avec respect, solidarité et humanité. L'organisation réaffirme son engagement indéfectible en faveur de la défense des droits humains et exhorte les autorités à agir avec responsabilité et diligence.