Qui comme moi, depuis un certain moment, s’est plu à observer le patriotisme des Sénégalais se décupler à un rythme qui rendrait jaloux Lucky Luke ?
Nul besoin d’utiliser des loupes pour remarquer l’engagement patriotique qui a animé les Sénégalais ces derniers mois. Eh oui ! Celui-ci est visible comme un nez en plein visage et même le plus tenace des sceptiques en serait facilement convaincu.
En effet, les Lions de la Téranga se sont armés de courage et d’abnégation pour réussir à restaurer cette valeur qui commençait à se perdre dans ce pays. Heureusement qu’ils sont là ces « jambaars » car, un pays où le nombre de patriotes se compte sur le bout des doigts, est un pays qui va droit dans le mur.
Pour une fois, au Sénégal, on ne raisonnait pas en qualité de Mourides, de Tidianes, de Layenes, de Niassenes, de Khadres ou de Catholiques.
Pour une fois , on ne raisonnait pas en qualité de Pro-Macky ou de Pro-Sonko.
Pour une fois, on ne raisonnait pas en qualité de wolofs, de sereres, de peulhs ou de manjacks.
Pour une fois, nous formions simplement un maillon dur comme le fer, et raisonnions en qualité de vaillants, dignes, valeureux et fiers Sénégalais que nous sommes. D’ailleurs, cette mobilisation était tellement forte qu’elle a réussi à assombrir le nuage d’une puante sortie xénophobe : suivez mon regard !
Pour une fois, le fameux débat « awo-niarel » a perdu de sa popularité pour laisser la vedette aux débats sur le football. (Merci aux Lions)
Pour une fois, la « chair » des agresseurs a « couru » pour épargner les accessoires des supporters et se ranger également derrière l’équipe. (Bon, j’avoue qu’il y a eu quelques brebis galeuses)
Pour une fois, même la rivalité entre « boy banlieue » et « boy Sicap » n’est pas parvenue à trouver sa place !
Pour une fois, nous étions Sénégalais « tout court » et rugissions au rythme de l’hymne national, tels des lions en grève de la faim.
Durant ces deux derniers mois, les couleurs de notre drapeau n’ont jamais été aussi fièrement brandies dans les artères du pays et décoration ne saurait être plus jolie et plus appropriée, n’est-ce pas ?
Dans tous les cas, le bilan de ces derniers mois devrait nous renseigner sur le pouvoir de la cohésion, de l’harmonie, de l’unité, de la solidarité et de tous les mots que vous connaissez et qui entrent dans le champ lexical de l’union. (Faites-vous plaisir )
Ensemble, il est clair que nous sommes capables de soulever des montagnes pour ensuite les replacer où bon nous semble !
Ensemble, nous pouvons chasser les dieux des « détails », des querelles et de la violence.
Ensemble, nous pouvons développer ce pays, si chacun y met du sien. La couleur vers l’émergence a été déjà annoncée et il nous incombe à présent, de respecter le « code couleur » et veiller à ne pas faire de « fashion police » pour ainsi, toujours nous mettre au rythme de la mode.
Pour finir, je dirai, sans risque d’extrapoler, que la liste des enseignements de cette cohésion est tellement longue que le tapis rouge des Oscars ne saurait suffire pour rivaliser. Elle est immense ! Elle est riche !
Et si vous n’êtes pas encore au courant, sachez que nous vivons dans un beau pays où la paix a toujours été le maître-mot et si j’ai un message à donner au diable qui aime se déguiser en « Sénégalais bon teint » pour diviser, salir et créer des incompréhensions, c’est qu’il aille d’ores et déjà se rhabiller ou qu’il aille voir ailleurs hein ! C’est selon…
« Ici, ici, c’est le Sénégal ! » Rapporte Vipeoples .
Nul besoin d’utiliser des loupes pour remarquer l’engagement patriotique qui a animé les Sénégalais ces derniers mois. Eh oui ! Celui-ci est visible comme un nez en plein visage et même le plus tenace des sceptiques en serait facilement convaincu.
En effet, les Lions de la Téranga se sont armés de courage et d’abnégation pour réussir à restaurer cette valeur qui commençait à se perdre dans ce pays. Heureusement qu’ils sont là ces « jambaars » car, un pays où le nombre de patriotes se compte sur le bout des doigts, est un pays qui va droit dans le mur.
Pour une fois, au Sénégal, on ne raisonnait pas en qualité de Mourides, de Tidianes, de Layenes, de Niassenes, de Khadres ou de Catholiques.
Pour une fois , on ne raisonnait pas en qualité de Pro-Macky ou de Pro-Sonko.
Pour une fois, on ne raisonnait pas en qualité de wolofs, de sereres, de peulhs ou de manjacks.
Pour une fois, nous formions simplement un maillon dur comme le fer, et raisonnions en qualité de vaillants, dignes, valeureux et fiers Sénégalais que nous sommes. D’ailleurs, cette mobilisation était tellement forte qu’elle a réussi à assombrir le nuage d’une puante sortie xénophobe : suivez mon regard !
Pour une fois, le fameux débat « awo-niarel » a perdu de sa popularité pour laisser la vedette aux débats sur le football. (Merci aux Lions)
Pour une fois, la « chair » des agresseurs a « couru » pour épargner les accessoires des supporters et se ranger également derrière l’équipe. (Bon, j’avoue qu’il y a eu quelques brebis galeuses)
Pour une fois, même la rivalité entre « boy banlieue » et « boy Sicap » n’est pas parvenue à trouver sa place !
Pour une fois, nous étions Sénégalais « tout court » et rugissions au rythme de l’hymne national, tels des lions en grève de la faim.
Durant ces deux derniers mois, les couleurs de notre drapeau n’ont jamais été aussi fièrement brandies dans les artères du pays et décoration ne saurait être plus jolie et plus appropriée, n’est-ce pas ?
Dans tous les cas, le bilan de ces derniers mois devrait nous renseigner sur le pouvoir de la cohésion, de l’harmonie, de l’unité, de la solidarité et de tous les mots que vous connaissez et qui entrent dans le champ lexical de l’union. (Faites-vous plaisir )
Ensemble, il est clair que nous sommes capables de soulever des montagnes pour ensuite les replacer où bon nous semble !
Ensemble, nous pouvons chasser les dieux des « détails », des querelles et de la violence.
Ensemble, nous pouvons développer ce pays, si chacun y met du sien. La couleur vers l’émergence a été déjà annoncée et il nous incombe à présent, de respecter le « code couleur » et veiller à ne pas faire de « fashion police » pour ainsi, toujours nous mettre au rythme de la mode.
Pour finir, je dirai, sans risque d’extrapoler, que la liste des enseignements de cette cohésion est tellement longue que le tapis rouge des Oscars ne saurait suffire pour rivaliser. Elle est immense ! Elle est riche !
Et si vous n’êtes pas encore au courant, sachez que nous vivons dans un beau pays où la paix a toujours été le maître-mot et si j’ai un message à donner au diable qui aime se déguiser en « Sénégalais bon teint » pour diviser, salir et créer des incompréhensions, c’est qu’il aille d’ores et déjà se rhabiller ou qu’il aille voir ailleurs hein ! C’est selon…
« Ici, ici, c’est le Sénégal ! » Rapporte Vipeoples .