Selon le Conseil Consultatif des Résidents Étrangers américains Dakar est une ville à forte criminalité lorsque l’on prend compte du nombre élevé des incidents. Comme la plupart des grandes villes, le spectre de l'activité criminelle se produit à Dakar. Les hommes d'affaires américains et les visiteurs sont principalement victimes de crimes : vol à la tire, à l'arraché, vol d'objets de valeur via véhicules, agressions et cambriolages résidentiels. Il y a eu également des incidents d'attaques violentes à l'aide de couteaux ou de machettes au cours des vols. Des américains à pied en centre de Dakar sont souvent approchés par des vendeurs agressifs qui cherchent à leur vendre impérativement des marchandises à un prix gonflé et ces vendeurs ciblent en même temps des victimes potentielles. En outre, les fraudes de cartes de crédit est une préoccupation majeure à Dakar.
Situation générale de la sécurité routière
Le danger le plus répandu qui se pose aux Américains à Dakar est le taux élevé des accidents, surtout la nuit. Les conducteurs sont agressifs, imprévisibles et inexpérimentés. Les panneaux et marque de code de la route sont presque inexistants, la manière dont sont construites les routes dans toute la ville sont un véritable danger pour la population et même les plus avisés des conducteurs rencontrent de réels difficultés. L'état des routes en dehors de Dakar peuvent être plus dangereux. Les taxis et les bus sont souvent en mauvais état de marche.
Terrorisme local, régional, et menaces internationaux
Il existe une menace réelle et croissante du terrorisme régional. Le Sénégal a été épargné par les attentats directs de terroristes mais reste quand même vulnérable en raison de la porosité des frontières, l'augmentation de l'instabilité régionale, et l'accroissement des activités terroristes d'AQMI (Al-Qaïda dans les Terres du Maghreb islamique).
Le conflit au Mali a augmenté ces préoccupations et divers groupes ont menacé le gouvernement du Sénégal pour leur soutien à la France et au Mali en apportant leurs contributions en troupe. Il y a eu des menaces spécifiquement faites contre les intérêts français et plus généralement les intérêts occidentaux en raison de l'intervention française au Mali.
Les troubles civils
Le Sénégal est considéré comme l'une des démocraties politiques les plus stables en Afrique de l'Ouest. Les manifestations publiques, les manifestations et les grèves se produisent régulièrement et deviennent souvent violents. Lieux communs pour les manifestations publiques sont: Place de l'Indépendance, la Place de l'Obélisque et de l'Université Cheikh Anta Diop.
La violence religieuse ou ethnique
La résistance armée du Mouvement des forces démocratiques de Casamance (MFDC) contre le gouvernement est le plus ancien mouvement séparatiste actif en Afrique. Depuis 1982, les rebelles du MFDC ont lutté pour l'indépendance de la région sud-ouest du Sénégal entre la Gambie et la Guinée-Bissau, connue comme la Casamance. Les rebelles du MFDC ciblent principalement les installations militaires, les convois du personnel dans une tentative de déstabiliser la région. Les civils vivant et voyageant en Casamance sont souvent des cibles d'opportunité pour les rebelles et les bandits qui soutiennent le groupe. La violence aveugle sert à perpétuer la peur au sein de la région. En raison de ces attaques, des milliers de réfugiés ont fui le désastre pour aller s’installer dans d’autres pays voisins, notamment la Guinée-Bissau et la Gambie.
En 2011 et au début de 2012, le conflit en Casamance a continué de s'intensifier entre le MFDC et les Forces armées sénégalaises (FAS). Les rebelles du MFDC continuent d'attaquer les cibles militaires et civiles. Le centre géographique de la zone de conflit est concentré entre la région nord-ouest du département de Bignona le long de la route nationale 4 (N4) et la route nationale 5 (N5). Les attaques sporadiques ont également eu lieu dans la région sud, le long de la route nationale 6 (N6) et la frontière de la Guinée-Bissau dans le département de Goudomp.
Risques pour l'environnement
Pendant la saison des pluies (Juin-Octobre), de fortes pluies ont été connues pour causer de graves inondations et de pertes de vie.
Questions de confidentialité
la fraude par carte de crédit et autres escroqueries sont répandues à Dakar. Une attention particulière doit être donnée. L'écrémage est le principal moyen de fraude de crédit et est indétectable jusqu'à ce que les frais frauduleux apparaissent sur les états.
Les préoccupations régionales de voyage et les aires de circulation
L'ambassade américain maintient une politique de restriction de circuler en Casamance. L’ OSAC devraient faire preuve de prudence lorsque qu’elle doit voyager à travers la Casamance. Le banditisme et les vols sont couramment perpétrés par les factions du MFDC armés comme moyen de financer les opérations. Les rebelles, lourdement armés apparaissent brusquement et forcent les véhicules civils à s'arrêter à la pointe du fusil et ensuite, ils n’hésitent pas à voler tous les passagers. À certaines occasions, les rebelles ont mis en place de faux points de contrôle pour mieux attirer les voyageurs civils.
Crimes liés à la drogue
Le Sénégal est devenu un point de trafic de drogue en Afrique de l'Ouest, principalement en Guinée et en Guinée Bissau. La culture de la marijuana indigène existe aussi.
Menaces de kidnapping
La menace d'enlèvement (principalement par AQMI et les groupes associés) existe, en particulier dans les zones frontalières entre le Sénégal, la Mauritanie et le Mali.
Situation générale de la sécurité routière
Le danger le plus répandu qui se pose aux Américains à Dakar est le taux élevé des accidents, surtout la nuit. Les conducteurs sont agressifs, imprévisibles et inexpérimentés. Les panneaux et marque de code de la route sont presque inexistants, la manière dont sont construites les routes dans toute la ville sont un véritable danger pour la population et même les plus avisés des conducteurs rencontrent de réels difficultés. L'état des routes en dehors de Dakar peuvent être plus dangereux. Les taxis et les bus sont souvent en mauvais état de marche.
Terrorisme local, régional, et menaces internationaux
Il existe une menace réelle et croissante du terrorisme régional. Le Sénégal a été épargné par les attentats directs de terroristes mais reste quand même vulnérable en raison de la porosité des frontières, l'augmentation de l'instabilité régionale, et l'accroissement des activités terroristes d'AQMI (Al-Qaïda dans les Terres du Maghreb islamique).
Le conflit au Mali a augmenté ces préoccupations et divers groupes ont menacé le gouvernement du Sénégal pour leur soutien à la France et au Mali en apportant leurs contributions en troupe. Il y a eu des menaces spécifiquement faites contre les intérêts français et plus généralement les intérêts occidentaux en raison de l'intervention française au Mali.
Les troubles civils
Le Sénégal est considéré comme l'une des démocraties politiques les plus stables en Afrique de l'Ouest. Les manifestations publiques, les manifestations et les grèves se produisent régulièrement et deviennent souvent violents. Lieux communs pour les manifestations publiques sont: Place de l'Indépendance, la Place de l'Obélisque et de l'Université Cheikh Anta Diop.
La violence religieuse ou ethnique
La résistance armée du Mouvement des forces démocratiques de Casamance (MFDC) contre le gouvernement est le plus ancien mouvement séparatiste actif en Afrique. Depuis 1982, les rebelles du MFDC ont lutté pour l'indépendance de la région sud-ouest du Sénégal entre la Gambie et la Guinée-Bissau, connue comme la Casamance. Les rebelles du MFDC ciblent principalement les installations militaires, les convois du personnel dans une tentative de déstabiliser la région. Les civils vivant et voyageant en Casamance sont souvent des cibles d'opportunité pour les rebelles et les bandits qui soutiennent le groupe. La violence aveugle sert à perpétuer la peur au sein de la région. En raison de ces attaques, des milliers de réfugiés ont fui le désastre pour aller s’installer dans d’autres pays voisins, notamment la Guinée-Bissau et la Gambie.
En 2011 et au début de 2012, le conflit en Casamance a continué de s'intensifier entre le MFDC et les Forces armées sénégalaises (FAS). Les rebelles du MFDC continuent d'attaquer les cibles militaires et civiles. Le centre géographique de la zone de conflit est concentré entre la région nord-ouest du département de Bignona le long de la route nationale 4 (N4) et la route nationale 5 (N5). Les attaques sporadiques ont également eu lieu dans la région sud, le long de la route nationale 6 (N6) et la frontière de la Guinée-Bissau dans le département de Goudomp.
Risques pour l'environnement
Pendant la saison des pluies (Juin-Octobre), de fortes pluies ont été connues pour causer de graves inondations et de pertes de vie.
Questions de confidentialité
la fraude par carte de crédit et autres escroqueries sont répandues à Dakar. Une attention particulière doit être donnée. L'écrémage est le principal moyen de fraude de crédit et est indétectable jusqu'à ce que les frais frauduleux apparaissent sur les états.
Les préoccupations régionales de voyage et les aires de circulation
L'ambassade américain maintient une politique de restriction de circuler en Casamance. L’ OSAC devraient faire preuve de prudence lorsque qu’elle doit voyager à travers la Casamance. Le banditisme et les vols sont couramment perpétrés par les factions du MFDC armés comme moyen de financer les opérations. Les rebelles, lourdement armés apparaissent brusquement et forcent les véhicules civils à s'arrêter à la pointe du fusil et ensuite, ils n’hésitent pas à voler tous les passagers. À certaines occasions, les rebelles ont mis en place de faux points de contrôle pour mieux attirer les voyageurs civils.
Crimes liés à la drogue
Le Sénégal est devenu un point de trafic de drogue en Afrique de l'Ouest, principalement en Guinée et en Guinée Bissau. La culture de la marijuana indigène existe aussi.
Menaces de kidnapping
La menace d'enlèvement (principalement par AQMI et les groupes associés) existe, en particulier dans les zones frontalières entre le Sénégal, la Mauritanie et le Mali.