Selon une note d’alerte reçue, ces offres illégales ciblent principalement les femmes enceintes et les couples, en violation flagrante des lois sénégalaises qui interdisent l’interruption volontaire de grossesse, à l’exception des avortements thérapeutiques autorisés par voie judiciaire.
Ces avortements pratiqués clandestinement, souvent par des personnes non qualifiées, entraînent des risques sanitaires majeurs : infections, hémorragies, infertilité, voire la mort. Le code pénal sénégalais prévoit des peines sévères pour les contrevenants, allant jusqu’à cinq ans d’emprisonnement et des amendes importantes.
Le MSAS appelle la population à se mobiliser contre cette pratique dangereuse et à signaler aux autorités toute activité suspecte en lien avec la promotion ou la distribution de produits d’avortement clandestin.
Ces avortements pratiqués clandestinement, souvent par des personnes non qualifiées, entraînent des risques sanitaires majeurs : infections, hémorragies, infertilité, voire la mort. Le code pénal sénégalais prévoit des peines sévères pour les contrevenants, allant jusqu’à cinq ans d’emprisonnement et des amendes importantes.
Le MSAS appelle la population à se mobiliser contre cette pratique dangereuse et à signaler aux autorités toute activité suspecte en lien avec la promotion ou la distribution de produits d’avortement clandestin.