Le Bloc national des démocrates (Bnd) n’en a cure de la grâce. Réuni en Conseil supérieur national (Csn), ce parti dirigé par Cheikh Tidiane Seck «attire l’attention du pouvoir et de l’opinion nationale et internationale, sur les dérives qui commencent à s’installer dans notre pays, au profit d’une liesse populiste et unanimiste».
Dans un communiqué, parcouru par "Bes Bi", il dénonce les décisions annoncées lors du dernier Conseil des ministres du 17 avril 2024. «Comment peut-on négocier l’amnistie d’actes aussi ignobles entre 2021 et 2023, pour ensuite poursuivre des actes supposés de mal gouvernance ?
L’injustice et l’iniquité, tant dénoncées, refont surface. La décision de publier tous les rapports des institutions de contrôle, devrait être accompagnée d’un projet de loi qui abroge la loi d’amnistie, pour faire la lumière sur les évènements sans précèdent et traumatisants de juin 2021 et mars 2023, sinon il est clair qu’à la place de la reddition des comptes, nous allons assister à un règlement de comptes», ont alerté M. Seck et ses camarades.
A en croire "Bes Bi", le Bnd met en garde également contre «cette scélérate loi sur les lanceurs d’alerte».
Dans un communiqué, parcouru par "Bes Bi", il dénonce les décisions annoncées lors du dernier Conseil des ministres du 17 avril 2024. «Comment peut-on négocier l’amnistie d’actes aussi ignobles entre 2021 et 2023, pour ensuite poursuivre des actes supposés de mal gouvernance ?
L’injustice et l’iniquité, tant dénoncées, refont surface. La décision de publier tous les rapports des institutions de contrôle, devrait être accompagnée d’un projet de loi qui abroge la loi d’amnistie, pour faire la lumière sur les évènements sans précèdent et traumatisants de juin 2021 et mars 2023, sinon il est clair qu’à la place de la reddition des comptes, nous allons assister à un règlement de comptes», ont alerté M. Seck et ses camarades.
A en croire "Bes Bi", le Bnd met en garde également contre «cette scélérate loi sur les lanceurs d’alerte».