Dans une circulaire datée du 14 décembre dernier, adressée aux ministres, ministres délégués et autres secrétaires d’Etat avec ampliation au président de la République, le chef du gouvernement demande une implication systématique de l’Agence De l’Informatique de l’Etat dans tous les projets élaborés au niveau des ministères et ayant un aspect informatique important.
Tout en rappelant la mission et les prérogatives de l’Agence qui « demeure la structure principale d’élaboration et de suivi de la politique informatique de l’Etat », le Premier ministre, veut désormais que l’ADIE soit « systématiquement impliquée, dès le départ, dans la définition et l’élaboration des projets informatiques de tous les ministères et organismes à qui elle pourra apporter aide et conseil ».
Cette initiative du Premier ministre est motivée par un constat récurrent de non-implication de l’ADIE dans certains projets informatiques de l’administration sénégalaise. Il souligne les conséquences néfastes de ces cas de figure dans l’efficacité de la gestion de ces projets en ce sens qu’ils conduisent à « une pluralité, même dans un ministère, de systèmes dont l’intégration s’avère très difficile, coûteux, voire même impossible ». C’est pourquoi il rappelle qu’il « attache du prix » à l’application stricte de ces prescriptions.
Tout en rappelant la mission et les prérogatives de l’Agence qui « demeure la structure principale d’élaboration et de suivi de la politique informatique de l’Etat », le Premier ministre, veut désormais que l’ADIE soit « systématiquement impliquée, dès le départ, dans la définition et l’élaboration des projets informatiques de tous les ministères et organismes à qui elle pourra apporter aide et conseil ».
Cette initiative du Premier ministre est motivée par un constat récurrent de non-implication de l’ADIE dans certains projets informatiques de l’administration sénégalaise. Il souligne les conséquences néfastes de ces cas de figure dans l’efficacité de la gestion de ces projets en ce sens qu’ils conduisent à « une pluralité, même dans un ministère, de systèmes dont l’intégration s’avère très difficile, coûteux, voire même impossible ». C’est pourquoi il rappelle qu’il « attache du prix » à l’application stricte de ces prescriptions.